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Le Gladiateur et la Muse [FT SONA]

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*Draven*
*Draven*
*Draven*
Lun 4 Sep - 12:06
Joueurs présents : Draven Gladiateur ; Muse Sona

CONTEXTE
Dans un lieu lointain ou proche, dans une époque passée ou à venir, un Empire s’était formé ou sera formé par la volonté de conquête d’un seul homme. Son nom ? Deph Primeral Cesarius. Son nom d’Empereur. Son vrai nom, il l’a oublié ou le jettera. Son royaume parcourait ou s’étendra à travers tout un continent, il était ou sera le plus grand Conquérant du Monde. Pour honorer leur chef, de multiples combats de guerriers parcouraient ou parcourront le Monde. Nous les appelions ou les appellerons les Gladiateurs.


Rien dans ma tête. Le vide total. Je ferme les yeux. Aujourd’hui encore je vais me battre glorieusement. Ils n’attendent que ça. Et toi, tu attends cela, aussi ? ]

« Draven, c’est bientôt à toi de rentrer en scène » me disait une voix roque, celle de mon Maitre.

Mes yeux de cristal s’ouvrent de nouveau. Ma tête fut remplie d’appels de triomphes, venant du public en ébullition. Le vide laissa place à la détermination, la rage de vaincre, et la classe que j’incarne. Je regarde mon maitre puis lui répondit :

« Vous savez bien que je suis toujours prêt à embraser mon public. » répondais-je, le sourire aux lèvres.

Il me répond à son tour par un sourire, ce sourire de confiance qu’il me fait depuis mon premier combat en Arène. En un mouvement de tête, ses servis habillées d’une longue toge maronnée m’équipent de mon armure légère faite de métal qui ne protégeait que mon épaule droite, j’ai pas vraiment besoin de plus vu que je suis tellement bon. Sans un mot je tendis mes bras et ils mirent mes avants bras faits de cuirs de rhinocéros. Grâce à un vieux miroir salit par le temps, j’installe mon ornement argenté sur mon front. Malgré la poussière et la crasse de l’environnement, mon reflet brille de mille feux comme la lumière dans la pénombre.

« Tu es prêt Draven ? J’ai confiance en tes talents de combattant. » me demandait mon maitre

Je fais un « Oui, car je suis Draven » et prit mes haches doubles. Les serviteurs ont vérifiés l’état des lames puis les ont aiguisés, normalement.  Ce n’est pas que je n’ai pas confiance, mais si un peu quand même, et puis je vérifie toujours par moi-même mes armes. Rien de tel que l’inspection rigoureux et experte de Draaaven. Je pose alors ma main sous l’une des haches, pour ainsi vérifier le tranchant des lames. Je fais la même chose pour l’autre puis fait un signe de la tête, pour leur indiquer que c’était bon. Elles seront donc nourrit, cette fois.

D’un bruit lourd et cassant le silence de la pièce, les portes donnant sur l’arène s’ouvrent lentement. Par la même occasion, on pouvait ressentir la chaleur du Soleil, mais aussi de l’ébullition du public qui m’appel. Ma vision, encore un peu troublée par la lumière, se met à visualiser l’entrée fracassante que je vais donner. Je vais déjà arriver un trottinant puis ferait un de ses divins saltos dont j’ai le secret. Ensuite, je me poserai dans la position olympienne, qui me revient totalement de droit d’ailleurs, les bras levés, comme pour remercier mon audimat. Mais avant ça, je me retourne vers mon Maitre puis lui dicte ce qu’il se passera :

« Ne vous inquiétez pas, Maitre. Moi, Draven, vous ramènera la tête de mon adversaire, comme d’habitude et ce, avec toujours plus de classe. »

Sans répondre, il me sourit pour m’indiquer sa confiance. Je commence alors mon entré en scène. Dès les premiers pas sur le sol sableux de l’arène, je senti une grande énergie m’envahir. Comme si les acclamations de ceux qui me regardent sont une source d’énergie infinie et pure. Comme on dit, une rose pour une rose non ? Courant à moitié dans l’arène, j’ai pu remarquer le sang des prisonniers, qui ont été pourchassé par les lions, juste avant mon passage. C’est comme un amuse-bouche pour le véritable spectacle qui va suivre. Arrivé au milieu du terrain, je me mets face à une estrade placée sous un abri, en hauteur dans l’arène. Il y place les VIP, c’est-à-dire dans ce cas l’homme qui dirige cette ville et cette arène, le Sénateur Brinus. Il semblerait qu’il soit accompagné de quelqu’un mais je ne le vois pas bien malgré mes yeux perçants. Bien qu’il me regarde de haut grâce à ses avantages pompeux de politiciens, je sais que je vaux bien mieux que lui, vu que je suis Draven. Puis un autre homme vient dans l’arène. Pff… Encore un « classique ». C’est le typique gladiateur avec une armure de bronze recouvrant entièrement son corps et une grande hache à la main droite. Cet homme, je dois l’avouer, est grand, mais ce n’est que physiquement à coup sûr. Son masque d’ailleurs recouvre entièrement son visage, à l’exception de ses yeux, teints d’un noir très sombre, accentués par l’obscurité. Il ne baigne vraiment pas dans la lumière contrairement à moi. Arrivé à côté de moi, il me regarde d’abord. Je sens comme une pression de sa part. Il veut certainement me faire peur par sa grandeur, mais il n’arrivera à rien. Je le regarde avec encore plus de détermination, et un sourire plus grand que sa stature. Il tremble un peu. Pas étonnant, fillette va. Pour cacher sa peur, il se tourna vers le Sénateur pour le saluer d’un « Avé » de tout ce qu’il y a de plus classique, sortant comme un écho métallisé de l’ouverture de son masque. Bien que cela m’énerve, je le sors aussi avec plus d’épique, mais parce que c’est le protocole.

C’est enfin maintenant que ça va être intéressant, l’heure du combat. On se positionne chacun à une distance égale du centre marqué par un point de pierre face à face. Lui se prépare en se mettant de côté, sa hache au-dessus de sa tête. Ses appuis me font penser qu’il va commencer par une attaque par un saut. Quant à moi, je pris mes deux haches à chacune de mes mains, les lames derrières moi. Je sais que vu sa carrure, je ne résisterais pas à une attaque frontale malgré ma divine carrure, il va falloir se montrer pro, comme d’hab’. Plus un bruit ne peut se faire entendre. On entend le vent soufflant dans l’arène. On attend pendant un moment, le signal du Sénateur qu’il indiquera en soufflant dans une corne de bouc, comme la tradition le veut. Après une minute environ, le signal retentit dans l’enceinte de l’arène. Comme prévu, la réaction fut immédiate. L’ennemi engage le combat en me sautant dessus comme je l’imaginais. Qu’est-ce que je suis bon. D’une feinte prodigieuse sur ma droite, j’esquive le coup lourd de la hache qui percute violemment le sol dans un fracas de poussière. Il est mauvais et il ose me salir ? Et malgré ça, il agit rapidement et attaque en taillade d’un bras. Une nouvelle fois j’esquive en me courbant avec style vers l’arrière. Après ça, je saute en arrière en salto puis lance avec force ma hache gauche. Comme prévu, il bloque mon attaque avec la poigne de son arme, mais cela le déstabilise un peu. Cette fenêtre d’action me permet de lancer ma deuxième hache dans la jambe droite de mon adversaire, qui s’infiltre sans difficulté et malgré l’armure dans la chair. Sa jambe droite s’écroule puis j’en profite pour récupérer ma première hache. Je me déplace magistralement derrière lui, afin de le harceler avec des petits coups dans son angle mort, c’est-à-dire son épaule droite. Il se relève d’un coup malgré la douleur qu’il doit ressentir. Par cette occasion, je recule après avoir récupérer mes deux haches. Son sang coule sur le sol et ses mouvements sont plus lents. J’en profite pour m’avancer rapidement afin de le refaire tomber en donnant un coup violent dans sa jambe gauche. Eh oui, je ne suis pas lâche quand même. Il essaye encore une fois de se relever avec pour appuis son arme. Avec précision, j’attaque  dans l’endroit le plus faible de son bras, c’est-à-dire, la jointure de son armure entre son bras et son avant-bras. Avec la douleur, il lâche sa hache qui tombe sur le sol. Il ne peut plus rien faire et j’ai encore gagné avec classe. Mais il reste encore une chose à attendre. C’est le droit d’exécution que doit donner le Sénateur, qui indique si oui ou non, j’ai le droit de finir ma victime. Et oui, je l’ai ménagé, car je n’ai pas le droit de le tuer. Ce n’est pas drôle m’enfin bon. C’est très simple, si son doigt indique le ciel (non pas moi, le ciel), je l’exécute. Sinon, il a la vie sauve. Voyons donc ce que va dire celui qui est tout là haut.
*Draven*
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