• NOM : Orianna • TITRE : Demoiselle Mécanique • LIEU DE NAISSANCE : Piltover • RÉSIDENCE : Piltover • OCCUPATION : Horlogère & Championne de la Ligue • FACTION : Piltover
Joueur
• PRENOM/PSEUDO : On me connait sous le pseudo "Meuh" en général • ÂGE : 27 ans depuis 2 jours, à l'heure actuelle ! • COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? par les partenariats, la gentillesse de Varus et Sona, vos participations à tous lors des IF qui me bluffent un peu plus à chaque fois et j’ai cédé avec le dernier (préparer l'épreuve avec Valh m'a fait redécouvrir LoL et j'ai craqué !) • PRÉSENCE, COMMENTAIRES : toujours très dispo sur Discord, pour les RP c’est très aléatoire vu mon rythme de travail et la fatigue qui va avec, sans oublier la tonne de RP que je cache sous le tapis, mais je fais au mieux ! Je tiens à préciser que je connais très peu le lore de LoL et ses personnages, mais je ferai au mieux pour combler mes lacunes ! Ça fait aussi parti de mes goals en venant Et puis vous avez l’air sympa, j’ai craqué pour Orianna en plus, alors je tente ma chance • LIEUX DU RÈGLEMENT : Validés par Varus
Demoiselle mécanique mais ancienne humaine avant tout, Orianna a été conçue par son père des pieds à la tête par le biais de prothèses métalliques et autres stratagèmes techniques, en se basant le plus fidèlement possible à son physique d’autrefois : un coloris châtain légèrement doré pour sa chevelure, un teint de porcelaine qui accentue ses airs de poupée, sans parler du bleu azur qui orne ses yeux de biche. Un regard dans lequel on pourrait se perdre, à cause de cette luminosité hypnotisante.
Orianna possède une silhouette fine et est ornée de courbes féminines ancrées dans le temps, tout autant que les rouages d'horlogerie dont son corps est composé. A l’abri des rides et de toutes autres conséquences temporelles peu harmonieuse, d’aucun pourraient l’envier si ses mécanismes ne lui ôtaient pas son humanité. Sa voix achève de trahir sa véritable nature : une voix métallique, résonnante, un poil perturbant pour quiconque n'y est pas habitué.
Avec un soin particulier, son père avait gravé des motifs sur son torse et lui avait forgé une parure des plus travaillées. Amoureuse de la danse depuis toute petite et désormais accompagnée de sa clé dans le dos, elle ressemblait désormais à la danseuse d'une boîte à musique pour l'éternité. Son allure restera la même en toutes circonstances, à moins d’apporter des modifications aux prothèses dont elle est faite, ce qui demanderait un temps et un travail considérable. Ses doigts se terminent en pointes pour faciliter la minutie de son travail.
Alors qu’Orianna se déplace d’une démarche fluide et naturelle, gardant sa souplesse et sa grâce de danseuse, il est difficile de ne pas remarquer la sphère qui l’accompagne. Flottant autour d’elle, la plupart du temps à ses côtés, cette sphère mécanique d’une quarantaine de centimètres de diamètre est assortie à la demoiselle, de par sa structure et les couleurs des métaux employés. L’une ne va pas sans l’autre et elles ne se quittent jamais.Orianna ressemble à la fille de Corin, mais n’en a pourtant pas le caractère trait pour trait. Bien qu’elle semble avoir conservé sa naïveté et son innocence, ce qui en fait une personne crédule et facilement manipulable, la demoiselle mécanique a été faite pour assouvir le rêve de la défunte jeune fille : devenir championne de la Ligue.
Toujours passionnée par la danse, elle la pratique durant son temps libre et ne résiste jamais bien longtemps à l’appel de la musique. Elle mêle son agilité à son envie de victoire et s’avère être une combattante redoutable, à cela près qu’elle ne fait pas grande différence entre le bien et le mal. A ses yeux, les combats ne représentent que des activités amusantes dont elle ne saisit ni l’importance, ni les enjeux.
Dans le même genre, Orianna a dû mal à percevoir toutes les subtilités de la vie des humains. Elle imite leurs émotions plus qu’elle ne les comprend, agit par automatisme et a encore de grandes choses à apprendre pour pleinement s’intégrer comme elle le désire au plus profond d’elle-même. L’écart creusé par sa différence la rend assez exotique et étrange aux yeux des autres, rendant ses efforts vains.
Afin de palier à sa solitude et pour la protéger, ainsi que les gens autour d’elle, Corin lui confie « La balle ». Une boule électrique et métallique qui lui sert de plus fidèle confidente, dont elle est la seule à pouvoir comprendre les manifestations. Elle gravite autour d’elle, vibre ou gronde pour se faire comprendre, s’agite et une symbiose s’est créée dans le duo harmonieux qu’elles forment. Corin avait les larmes aux yeux. La dernière pièce était scellée, une pierre d’infinité et les mécanismes se mirent en marche, après de longues semaines de labeur. Le rayon de soleil qui traversait la fenêtre vint faire briller le métal, alors que la silhouette se redressait. Bien qu’elle soit faite de métal et de pièces d’horlogerie, Corin avait sa fille sous les yeux. Il la retrouvait. Alors, se passa de longues journées où il lui raconta de nombreux souvenirs en commun. Il les racontait avec émotion, avec effusion même ! Orianna, elle, se contentait d’écouter avec un calme déconcertant. Elle répétait de temps en temps des phrases clés, comme pour les ancrer dans sa propre mémoire, avant de s’adresser à Corin, avec un sourire composé, maladroit mais sincère : « Tu es mon père ».
L’homme vieillissant passa les semaines suivantes à aider Orianna, afin qu’elle apprenne la danse que chérissait tant sa fille biologique. La demoiselle mécanique y trouva une vraie passion, reconnaissant la beauté de cet art et apprit à le chérir à son tour. Ses mécanismes s’y adaptait sans grande difficulté, Corin ayant étudié chaque paramètre, chaque écrou, chaque rouage pour rendre cela possible, lorsqu’il l’avait fabriquée de ses mains.
En parallèle de ces moments d’apprentissage, Corin travaillait à l’atelier et retrouvait une hygiène de vie potable, après des mois d’insomnie. Cependant, il se rendait bien compte qu’en parallèle de son propre bonheur, les autres étaient sceptiques quant à l’existence d’Orianna et cette dernière avait des difficultés à nouer des liens. Elle voulait s’intégrer, tout savoir pour mieux appréhender, connaître les réactions appropriées et apprit même à rire… Un rire qu’elle avait copié sur une habitante populaire du village. Si elle s’attirait les sympathies de la population, peut-être que cela l’aiderait elle aussi, avait-elle dit à Corin.
Ce dernier eut alors l’idée de lui créer un fidèle compagnon à son image, qui la suivrait peu importe où elle irait et serait là pour la protéger. C’est ainsi que « La Balle » vit le jour. Avec un design semblable à celui de sa fille mécanique, le créateur fit de la sphère un véritable compagnon doué de sa propre intelligence et de ses propres capacités. Ainsi, elles se comprendraient et La Balle aiderait Orianna à accomplir le dernier rêve de sa fille originelle : devenir championne de la Ligue.
La curiosité de la danseuse mécanique se révélait toujours plus grande au fur et à mesure de son existence. Elle posa un nombre incalculable de questions à Corin sur la Ligue également, pour mettre les atouts de son côté et les rejoindre, leur faire face et leur montrer de quoi elle était capable. Le moment venu, elle se présenta aux portes de l’Institut de la Guerre. Elle remonta la clé qu’arborait son dos et se présenta à l’Invocateur Montrose, déclarant avec sa voix particulière : « Je souhaite être une championne, ce sera amusant ».
Vint alors le moment pour eux de sonder son esprit étriqué. Car là était tout le problème, Orianna n’avait aucune conscience du bien fondé de ses motivations, ni des répercussions néfastes que les combats pouvaient avoir. Mais cela, les Invocateurs pouvaient le tirer à leur avantage ou la guider pour prendre les bonnes décisions. La Balle surveillait l’entretien de manière consciencieuse, autorisant Orianna à répondre quand il le fallait. La demoiselle leur montra alors une partie des souvenirs que lui avaient remémoré Corin, des endroits où il l’avait emmenée, les souvenirs qu’elles s’était elle-même créée également, puis sa passion de la danse fit surface.
Si Orianna était particulière, sa façon de danser avait une certaine beauté qu’on ne pouvait dénier. Pas de faux-pas, une justesse imparable et elle se réglait sur le tempo de la musique comme les aiguilles d’une montre. Enfin, elle finit par faire une démonstration de ses quelques capacités. L’Invocateur vit la motivation indéniable d’Orianna ainsi que son potentiel, ce qui eut pour conséquence de l’accepter au sein de la Ligue et de commencer son entrainement : Alors tu seras une championne ».
Après quelques années d’entraînement et maintenant devenue Championne de la Ligue, Orianna alterne son rythme de vie entre les ordres des Invocateurs et les visites à son paternel. Cependant, les récents évenements la mène à une certaine incompréhension vis-à-vis de la population. Remettre en doute les règles de la Ligue lui était impossible de prime abord, si bien qu’elle resta de leur côté pour l’instant.
Mais qui sait, le monde est peuplé d’âmes qui nous font influe sur le cours de nos vies et prendre des tournants impensables. Si Orianna était solitaire et incomprise jusque-là, peut-être que les choses seraient amenées à changer.
Orianna
Sona Buvelle
Les mots sont des notes de musiques
Sona Buvelle
Sam 5 Déc - 22:15
Saperlipopette Meuhrianna, ça fait super plaisir de voir ta fiche ici !
Sans rire, on est super content un de voir arriver de nouveaux membres, surtout les copains de l'IF et on te souhaite encore une fois la bienvenue parmi nous !
La fichette que tu nous a proposé est tiptop ! Efficace et on y retrouve tout ce qu'on attend : mention de la Ligue y compris ! Chapeau à toi pour ta jolie validation !
Tu peux donc aller faire une petite fiche de relation et partir en quête de RP ! Bon amusement sur VB !
Accueil
Jeu 26 Nov - 1:14
Et puis vous avez l’air sympa, j’ai craqué pour Orianna en plus, alors je tente ma chance 
