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Khada Jhin
Khada Jhin
Khada Jhin
Ven 2 Oct - 22:00
Jhin, The Virtuoso [Terminée] UGS7vk9N
« Il n'est pas d'art sans cruauté. »

Jhin, The Virtuoso [Terminée] Rk1DJIlX
Personnage
• NOM : Khada Jhin
TITRE/SURNOM : Le Virtuose & Démon Doré
LIEU DE NAISSANCE : Ionia
RÉSIDENCE : Ionia, Piltover & Zaun
OCCUPATION : Réaliser des compositions monochromes, le sang est toujours rouge.
FACTION : L'art. Et Ionia, peut-être.

Joueur
PRENOM/PSEUDO :
Artiste:
ÂGE :
Voyons..:
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Une femme aux cheveux blancs, habillée tel un capitaine manquant de raffinement.
LIEUX DU RÈGLEMENT : Validés par Varus
PRÉSENCE, COMMENTAIRES : Tant que je serais esclave de cette passion, je serais là.





Acte 1 : L'apparence fait la différence.

Tout le monde porte un masque, mais je préfère créer le mien.

L'endroit aurait pu être pittoresque s'il n'était pas typique d'Ionia. La chambre est plutôt simple, spacieuse, respirant la nature à plein poumon. Les poutres faites d'écorces sont bien apparentes, accompagnées par endroit de feuilles encore verdoyantes au vu de la saison. La chambre s'ancre bien trop dans le décors des lieux, tel l'évidence d'une face d'un objet totalement symétrique, trop prévisible, trop évident, cela manque de... de passion, d'extravagance, d'une touche de... voilà que je m'égare déjà. Pourtant, je n'en ai pas le temps, la bougie continuant de se consumer, je dois me préparer afin d'entrer en scène, à l'heure convenue.

Sans perdre une seconde, je m'abaisse, cherchant sous le lit le sac que j'ai soigneusement glissé sous ce dernier lors de mon arrivée. À ma portée, je m'en empare, le posant sur le matelas dont les draps sont soigneusement étendus et tirés. J'ouvre le bagage avec minutie, prenant de ma main gauche l'arme que je chérie tant : Murmure. Ah... ma précieuse et fidèle alliée. Celle sans qui tout cela n'aurait -presque- aucune valeur. De ma main droite, recouverte d'une spalière faite de plaques d'or finement ornementées jusqu'à l'épaule, accompagnées de quelques mécanismes afin de me soutenir face au recule lors de l'utilisation de mon pinceau, je récupère un tissu bien spécifique, celui dont je me sers afin de nettoyer ce chef d'œuvre, qui me permet d'en créer bien d'autres.

Un coup, deux coups, trois coups... c'est au quatrième coup passé de ce voile, que je suis certain que sa crosse blanche et d'or, accompagnée de son canon, sont propres. Ils le sont toujours au quatrième passage. C'est un fait. Pas un de moins, pas un de plus. Au quatrième, c'est la perfection. Toujours. Passons au second fusil qui peut aussi lui servir d'allonge. Mêlant les mêmes matières qui composent Murmure, à la différence de l'absence des pièces blanches. Cette arme est taillée pour la longue portée et la précision. La suite ? Plus imposant, aucune connotation agressive en dehors de ce qu'il garde : le chargeur. Cette partie a été créée pour épouser la forme de mon épaule droite, sans le moindre problème. Le nombre de balle pouvant être stockée ne dépassant pas quatre. Faite d'acier et d'or. Mes futurs œuvres ne doivent pas se fier au matériel, elles ne font pas que transpercer la chair. Le cœur de bronze, merveille de cet archipel, regorge de magie que j'ai appris à maîtriser, afin de rendre mes représentations toujours plus sensationnelles.

Déposant le tout, soigneusement dans le sac sans le ranger, une fois terminé. Je dois finir de me vêtir dignement. Un pantalon sombre, des jambières d'or à l'image de mon bras droit, grâce auxquelles, je peux tenir ma position sans vaciller lors de mes tires. Un épais tissu violet surplombe mon bas ainsi que mon haut qui est d'un rose fushia, recouvrant une partie de mon bassin et de mon abdomen. Une corde bleue attachée en deux tours à laquelle j'accroche en général quatre balles, la maintient plus fermement. J'agrémente le tout d'épaulières remontantes en pointe, d'une couleur ambrée rappelant le pouvoir.

Lorsque ma main frôle le tissu noir en peau d'anguille, un frisson parcours mon être. Je ne peux y résister, l'enfilant sans plus tarder. Recouvrant mon œil droit, mon nez et ma bouche, mon souffle est court, tandis que ma vue perd la notion de profondeur, pourtant, c'est l'excitation qui me gagne. La pupille de mon unique œil, visible, se dilate un moment, prenant sur l'iris marron aux reflets d'un pourpre bien caractéristique. Cette sensation, je ne m'en lasserais jamais, éveillant en moi certaines idées, de folles envies.

Délicatement, je prends mon chargeur, le déposant soigneusement sur l'épaule lui étant attitrée, me donnant un peu plus de grandeur, frôlant déjà les deux mètres, ainsi que plus de prestance, ou peut-être même un air bossus. Mhm... Quelle image peuvent-ils avoir de moi ? Je me le demande bien. Par la suite, je m'empare d'une longue étoffe couleur crème, recouvrant mes épaules, toujours ornementée d'or et de quelques tracés plus foncés sur la couleur pâle. L'intérieur de cette pièce est d'un rose similaire à mon haut. Quant à sa longueur, elle s'arrête en diagonal avant même de frôler mes genoux, descendant plus bas dans mon dos. Au niveau des bras, il n'a pas de manche. Démontrant ainsi, par celui de gauche, une couleur de peau plutôt clair et une musculature présente, sans être une armoire à glace. Où serait l'élégance, sinon ? Un tissu sombre recouvre mon avant bras, s'arrêtant à mes premières phalanges, seul mon index en est totalement recouvert.

Mes doigts, fins, aux ongles noircis, prennent Murmure. Caressant la cross. Je ne peux m'en empêcher. Le corps droit, le bras gauche tendu, l'arme en joue, visant la fenêtre et le ciel étant à ma vue. Celle-ci dévoilant une partie du village qui est dans la vallée, en contrebas. J'inspire profondément avant de l'abaisser et de l'accrocher à l'arrière.

La seconde arme, quoi en faire..? L'attacher elle aussi, oui, à l'épais filin bleu, à ma portée côté droit. Tout est en place à une exception près.

Mon masque.

La face d'un visage, blanc, taillé finement, les ornements gravés tranchent la symétrie affligeante qui aurait pu l'en incomber, un sourire froid, presque faux. Laissant dans le doute quiconque l'observant. Faisant oublier l'unique œil visible à travers celui-ci. Il est de ma composition et tous ne sont pas dignes de pouvoir le contempler. Cette pièce fait de Khada Jhin, ce qu'il est. Donnant au Démon Dorée tout son attrait. Celui que tout le monde avait appris à connaître par son mystère, à craindre et à admirer avant de ne faire que célébrer son emprisonnement.

Bientôt, ils allaient le redécouvrir. Patience.

Et dire qu'en dehors de tout cet attirail, je pourrais passer inaperçue aux yeux du monde entier, être monsieur tout le monde, voir... personne. Qui soupçonnerait un parfait inconnu ? Le fermier du coin ? Le travailleur épuisé ? Le vieillard... mourant ? Autant d'être existant dont je peux jouer le rôle.

Acte 2 : Ils danseront, ils chanteront, ils mourront.

On me dit fou, mais qu'elle artiste ne l'est pas ?

Bien que la possibilité d'être anonyme et inconnu de tous, puisse me laisser une marge de manœuvre afin de préparer chacune de mes œuvres. Sa perspective me laisse un goût amer, comme un nœud dans l'estomac, resserrant ma gorge. Rester dans l'ombre ne me conviens pas. Je suis fait pour l'art, la mise en scène, le spectacle. Seul cette optique me permet de rester en retrait, temporairement. Après tout, que deviendraient toutes ces personnes à la vie morne, si je n'orchestrais pas leur fin ? La vie est si banale, si fade, autant rendre leur mort glorieuse et inoubliable ! Oui, l'art vous offre cette bénédiction. Je vous donne cette opportunité. Par moi, vous deviendrez célèbre.

Mon seul œil se perd sur la bougie venant de s'éteindre. Sa flamme venait de la consumer dans le plus grand des silences. Si mon regard ne s'était pas porté sur elle, sa fin n'aurait eu aucune importance. Là aussi, mon intérêt pour elle bien qu'éphémère, lui a permis de se faire remarquer, de briller, l'espace d'un instant, pour la dernière fois. Un jour, mon génie sera reconnu.

Pour le moment, je le sens monter en moi, l'heure approche, mon entrée en scène aussi. La douce angoisse avant chaque représentation, elle me rend nerveux. J'ai besoin de cette sensation afin de donner le meilleur de moi-même. Je vérifie mes vêtements une dernière fois, aucun accro n'est toléré, mais je ne doute pas, cela fait bien quatre fois que je la vérifie, toujours aussi sublime. Ma main gantée se porte à l'allonge de Murmure, ma seconde arme, la serrant sans la détacher, comme possessif, tout en ayant l'air détendu. L'autre bras reste le long de mon corps, mon pinceau me démange. Cependant, elle doit rester à l'arrière, ne devant pas attirer les soupçons, pas maintenant, ce n'est pas ce qui est prévu.

Ma démarche allègre, malgré le fardeau que peut laisser penser la difformité sur mon épaule, cachée par ma cape, m'emmène à la porte de ma chambre. En l'ouvrant, je rencontre la femme qui s'en occupe.

- Les bougies sont-elles disposées et allumées comme convenu ? Demandais-je presque enjoué, accompagné d'une touche de politesse.

- O-oui monsieur... la surprise s'entend à sa réponse, elle ne s'attendait pas à ce que ma voix résonne ainsi. ...elles viennent de l'être. Comme les pétales de lotus dispersées sur la table, regroupées en quatre et placées en quatre groupes de ces dernières par table. Un feu de bois alimenté d'autant de bûche. Seize..

- Parfait. Fis-je en la coupant, le temps me fait défaut. Je vous fais confiance. Il vaudrait mieux pour vous, très chère. Menaçant, je ne le suis pas, je lui fais simplement comprendre mes attentes. Je ne propose que la perfection, il est donc normal qu'ils me rendent la pareille.

Reprenant ma marche dans ce couloir, je la laisse retourner à ses tâches, elle est loin d'avoir terminé. La représentation n'attend plus que moi. Avant même d'arriver à l'escalier, l'agitation parvient à mes oreilles, elle n'est pas encore bien dense. Le monde commence à s’installer, doucement. Mon public est là, à moi de captiver leur attention cette fois-ci.

Une canne m'attend à la dernière marche, à ma droite, parfait. Je m'en empare, lâchant l'emprise de mon arme. Frappant de son bout, le sol, à quatre reprises sur un point bien précis, afin que le son résonne pour tous. Trois coups brefs puis un quatrième, plus fort, faisant appel au silence et à leur attention. Cela fonctionne. Tous ont arrêté leurs tâches et discussions insignifiantes pour me voir, enfin. Quelques Vastayas se mêlent à cette foule, sortant de sa monotonie la présence uniquement humaine. Cela pourrait m'inspirer, oui. Ce serait un beau tableau. Au moins, l'on ne dira pas de moi que je fais dans la discrimination, non. L'art n'est pas ainsi. Quoi qu'il y a toujours des exceptions.

- Quoi ? Qu'est-ce qu'il veut le clown ? Fit un rustre visiblement en désaccord avec mes intentions.

Un... un clown. Jhin, calme toi. Tu as prévu cela, tu l'as répété. Ma main gauche passe dans mon dos, tandis que je mime une révérence.

- Pardonnez-moi mon humble ami, je ne... supporte pas les mauvaises critiques. Répondis-je d'un calme meurtrier.

Me redressant, Murmure l'a en joue. À cette distance je pourrais l'abattre si facilement. Son regard s'emplit de peur, me faisant sourire. Certains se lèvent, je les arrête d'une mise en garde.

- Je serais de vous, je ne bougerais pas. Un pas de travers, au mauvais endroit et tout explose. Votre marge est courte, calculée au -teemo- millimètre prêt. Annonçais-je en savourant l'angoisse créée.

L'un d'entre eux ose remettre ma parole en doute. Oui, c'était prévisible, le coup part, la balle se loge dans l'épaule du rustre, qui à l'impact, eut un mouvement de recule. Mon piège s'active à son contact, il faut bien deux secondes avant qu'elle n'explose dans un bruit caractéristique, libérant sa magie et des pétales de lotus. Détruisant les jambes de sa victime, des racines en ressortent, fleurissantes. L'incarnat recouvre une partie du sol est des objets non loin. Les cris de panique se mêlent à ceux de douleur. Ah ! L'extase de la terreur. Cela me soutire un doux rire, presque satisfait. Ce n'était qu'un piège isolé, un avertissement, un avant goût. J'inspire profondément.

- Me prendrez-vous plus au sérieux maintenant ? Je fredonne un certain air, de bonne humeur, en attendant une réponse.

-Qu'est-ce que tu nous veux ? Fit un courageux.

- Bien. Vous compter la légende du Démon Dorée. Est-ce que... ce nom vous parle ? Oui, j'imagine.

À leur regard remplit de terreur, de haine, voir de dégoût, je le sais. Ils ont compris. C'est parfait. Je n'allais pas me contenter de leur conter une histoire sans qu'ils n'en soient acteurs. Mes marionnettes vont danser, ce soir, sous mon regard émerveillé et leur sang se déversant. Le temps d'un acte, c'est ce qu'il leur reste à vivre. Cette perspective me laisse échapper un rire dément, sans pour autant délaisser mon public. Posant la canne, je retire mon masque, laissant le peu de mon visage visible, au regard de mes victimes.

- Pour... quoi ? Me demande-t-on, horrifié.

- La réponse est simple. Il n'est pas d'art sans cruauté.

Commémoré l'enfermement du Démon Dorée est une chose, mais penser qu'il était à jamais hors d'état de nuire était une erreur. Fatale erreur. L'on ne peut censurer mon art.

Je vais les rendre magnifiques.

Et lorsqu'ils les trouveront, ils pleureront.

Acte 3 : Je fleuris dans le carnage, comme une corolle à l'aube.

La dernière grenade venait de s'éteindre, emportant avec elle un dernier cri de douleur. Exquise sensation que voici. Faisant dos à la scène pour être sorti de la battisse avant que tout ne s'enclenchent, un nouveau rire, fou, me gagne. Je n'ai pas besoin de porter mon regard sur mon œuvre pour savoir ce qu'il en est, pourtant, je le ferais. Une fois que j'en aurais fini avec cette dernière spectatrice qui a pris soin de sortir mes affaires encore présentes dans ma chambre avant ma représentation. Bien obéissante. Elle m'attend à quelques pas d'ici. Quatre, pour être précis.

- Voici vos bagages. Me fit-elle respectueusement.

Récupérant ce qu'elle m'a rendu, j'en vérifierais le contenu un peu plus tard. À vrai dire, cette femme m'intrigue, bien que je savais à quoi m'attendre. Sans avoir la moindre idée de ce qui allait se passer, elle n'a émis aucune opposition à la moindre de mes demandes, s'exécutant sans broncher. Mes préparations sont certes, subtiles, mais la représentation n'est pas si silencieuse que ça. Son regard n'a pu se porter sur mon œuvre, ses oreilles en revanche, ont bien dû entendre leurs cris et pourtant, elle ne laisse rien paraître, pas de crainte, pas de peur, aucune larme. Serait-ce une adepte de mon art en plus d'être une étrangère de ces lieux ? Ce serait insultant pour mon œuvre et pour moi, pas la moindre reconnaissance dans son regard, il semble vide. Quelque chose manque vraiment à cet être et je pense savoir quoi.

- Dis-moi, que représentait cet endroit pour toi ?

- Rien d'autre qu'un bagne.

Un bagne ? Tiens donc. Il est certain que les lieux manquaient de raffinement et de bien d'autres choses, mais à ce point ? Non, ce n'est pas ça. Serait-ce.. de la nostalgie ? Si c'est le cas, je pense savoir. Oui, il n'y a pas de doute.

- Serais-tu noxienne ? Fis-je, presque intéressé.

Son silence parle pour elle.

- Captive d'un ancien bataillon devant se racheter ou une personne se sentant redevable envers nous ?

Je m'approche d'elle, allant observer son visage de plus près. Des formes arrondies, un nez bossu, de fines lèvres sombres, une cicatrice déformant la symétrie. Un regard austère, amplifié par le noir de ses iris. De nombreuses marques dû à la guerre. Cela m'inspire. Ses hôtes ou patrons, anciens quoi qu'il advienne, semblaient tout de même avoir pris soin d'elle. Ses quelques formes le prouvent. Elles sont subtiles, il n'y a pas à dire.

- Sens-toi libre de t'exprimer, avant que je ne le fasse, à ta place. Aimable devenant d'une fascination certainement malsaine pour celle qui m'entend, est là, le ton employé lors de mes derniers mots.

Levant ma main portant Murmure, je caresse sa crosse lentement, de celle gantée. Observant toujours ma prochaine œuvre encore vierge de mon passage. Sa voix ne semble pas vouloir exprimer la moindre parole, soit, qu'il en soit ainsi. Le silence, je l'envie. De quatre pas, je recule. Mon bras est perpendiculaire à mon corps, son cœur est ma cible, la quatrième balle doit être tirée, sinon, ce ne sera pas parfait. Je ne l'accepterais pas.

Inspirer longuement, prendre le temps de viser, profiter de sa supposée confusion. Une magie se ressent non loin, elle n'est pas des moindres. Des mots viennent à mes oreilles, précédant un flash lumineux, mais il ne pourra pas terminer sa phrase.

- Ne ti-...

Le quatrième coup sonne, me faisant profiter de l'extase du coup de grâce. La femme s'éteint dans un dernier cri alimentant le drame. Le sang et la magie travaillent de concert, offrant une œuvre resplendissante. J'ai hâte de voir ce qu'ils vont en penser, mais avant cela, ce dernier arrivant a faillit être en retard.

- Enfin vous voici, Invocateur. Je vous attendais. Annonçais-je, de manière théâtrale.

Ce dernier carnage a rapidement attiré l'attention de ces puissants mages, comme je m'en doutais. Leur institution s'étant créé il y a un moment déjà. Je n'ai pu les guider à moi plus tôt, ayant passé mes dernières années dans la prison de Tuula. Des années pendant lesquelles j'ai préparé une représentation bien spécifique pour Kusho, afin d'avoir tenté de censurer mon art. Malheureusement, l'apprentie ayant tué son maître qui avait une place d'importance dans ma pièce, se verra remplacer par son fils, Shen. Son assassin, Zed, a aussi un rôle particulier à jouer dans celle-ci.

Bien que je puisse les retrouver sans trop de difficultés, la ligue semblait bénéficier d'un bon réseau et de nombreuses informations, ce serait idiot que de s'en priver. Comme ce serait stupide que de se refuser un artiste de ma trempe. En échange de leur savoir, mon art serait à eux, sublimant enfin leurs terrains de guerre, qui, faut se l'avouer, manquaient de splendeur, d'élégance et de raffinement, voir même... d'une touche supplémentaire de cruauté. Ma venue sur ses champs de justice lui a offert bien plus de valeur, tout en attirant les regards sur mes œuvres.

J'étais enfin sorti de l'ombre. L'espace d'un instant.

Les représentations se multipliant et ce malgré la variété d'adversaire, une certaine lassitude commençait à me gagner, par chance, un incident eut lieux. Ou accident devrais-je dire. Causant le trouble dans l'esprit de leurs pantins qui se divisèrent au sujet de cet institut, une belle ouverture pour moi. Enfin je peux voir plus loin et bien plus grand que cette scène ridicule. Néanmoins, les Invocateurs étant toujours présents, je devrais y aller crescendo.

Runeterra me tend les bras.

Que le quatrième acte prenne place !

Khada Jhin
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Sona Buvelle
Les mots sont des notes de musiques
Sona Buvelle
Sona Buvelle
Les mots sont des notes de musiques
Sam 10 Oct - 15:24
Clap-clap-clap-clap !

J'en ai fait quatre et j'admets volontiers que les mesures à quatre temps sont très jolies ! Quand au quatrième acte que tu propose, j'ai très hâte de le voir en RP sur notre joli fofo !

Tu l'auras compris cette fiche nous as ra-vi, très jolie forme et super teasing sur la fin !

Le style est agréable et le personnage maîtrisé, c'est quatre fois oui (oui oui oui oui)

Bon amusement avec ton joli psychopathe ! Essaie de pas trop me tuer >< Chinese Sona
Sona Buvelle
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