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Priam Clairelune - Petit Jaune d'Oeuf en quête de vérité

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Priam
Ze killeur
Priam
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Ze killeur
Dim 10 Fév - 16:27
Priam Clairelune - Petit Jaune d'Oeuf en quête de vérité Bannie10
« Je sais ce que je suis et je suis le fils d'un champion !»

Priam Clairelune - Petit Jaune d'Oeuf en quête de vérité Priam-10
Personnage
• NOM : Priam Clairelune
TITRE/SURNOM : Jaune d'oeuf (Ce surnom était un sobriquet utilisé par Rhalun, mais finalement il l'aime bien !)
LIEU DE NAISSANCE : Ionia
RÉSIDENCE : Là où me mèneront mes recherches
OCCUPATION : Chercher les réponses aux énigmes de mon passé !

FACTION : Ionia

Joueur
PRENOM/PSEUDO : Letty-Niva
ÂGE : 30 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Par Varus (J'ai des amis haut placés !)
LIEUX DU RÈGLEMENT :Vu et validé par Varus
PRÉSENCE, COMMENTAIRES : Les gens sont tous sympas ! Et oui, même Thresh qui m'a tué dès qu'il m'a vu lol !
Je vais essayer d'être présent le plus régulièrement possible. Un ou deux posts par semaine ?




"Priam est un jeune homme de dix-neuf ans mesurant  un peu plus d'un mètre quatre-vingt-quinze, à la silhouette longue ce qui donne l'impression qu'il est plus grand encore. Finement musclé, il ne parait pas se imposant pour autant. Sa musculature est pourtant bien présente et cela se voit lorsqu'il découvre son corps, mais aussi avec ses épaules assez carrées. Ses muscles sont saillants et bien dessinés, le jeune homme s'entretenant depuis le début de son adolescence à cause des moqueries. En effet, il a grandit plus tôt et rapidement que les autres, sans pour autant prendre de l'ampleur. Tout maigre, il était alors traité d'Asperge. En développant sa musculature, il fit taire les quolibets et aussi n'eut plus de problèmes avec les enfants se prenant pour les terreur du quartier, les dépassant de deux têtes. Cette grandeur le fait paraître aussi un peu plus âgé.
Ses cheveux sont noirs aux reflet brun, mi-longs, doux et brillants. Ils rebiquent légèrement au bout et cachent quelques fois une petite cicatrice que Priam a sur le front, trace de son explosion de pouvoir ayant mal tournée. Ils encadrent un visage ovale à la mâchoire un peu carrée. Son nez est long et étrangement assez fin malgré le fait qu'il ai déjà été cassé. Lui et ses joues sont parsemés de petites tâches de rousseur. La couleur de ses yeux est un mélange de bleu clair et de gris argenté, elle varie selon le temps qu'il fait : l'argenté est plus présent lorsqu'il ne fait pas très beau, et le bleu lorsque le soleil est au rendez-vous. Ses lèvres ne sont pas fines, tout en n'étant pas exagérément charnues.
Ses vêtements sont simples, il ne peut pas se payer trop d'artifices ou de vêtements cliquant. Les coupes restent donc classiques et les couleurs souvent sombres parce que les salissures se voient moins dessus. Il porte presque tout le temps une cape de voyage de couleur bleue sombre et un manteau de voyage en cuir brun en dessous pour ne pas avoir froid et pour sa protection aussi. Il voyage souvent pieds nus afin de rester le plus possible en connexion avec son élément, même s'il n'a pas besoin d'être en contact direct avec la terre pour la manier.
Il possède un bâton au peu spécial, mêlant le bambou léger et solide, à de l'obsidienne. Il n'a pas de nom, mais Priam y réfléchit en ayant remarqué que beaucoup de gens donnent un nom à leur arme. Bien sur, il ne l'utilisera que s'il n'a vraiment pas le choix."

"Priam est quelqu'un d'un peu timide de prime abord, ayant gardé un fond du bambin silencieux qu'il était. Mais lorsqu'il est un peu plus à l'aise il dévoile une personnalité douce, un peu rêveuse, passionnée et très curieuse. Il n'est pas difficile à vivre, essayant de s'adapter au mieux pour ne pas déranger et rendre service à qui en aurait besoin. Ses proches ont d'ailleurs peur que ce côté aimable et serviable ne lui joue des tours en dehors d'Ionia, tout comme cela pourrait lui permettre de s'en sortir. Il faut juste que Priam tombe sur les bonnes personnes. Les gens le trouvent très attachant, beaucoup ont regretté son départ tout en l'encourageant à suivre son cœur.
Il est souvent souriant -même si cela ne se voit pas sur son avatar-, mais à aussi des périodes où il semble plus renfermé, ces périodes étant remplies de questions, de doutes mais aussi d'espoir. D'ailleurs, dans ces périodes là il a tendance à se couper des autres, ne voulant pas partager ses émotions négatives et déranger. Il lui est souvent arrivé de refouler ses émotions négatives sans trop savoir quoi en faire et c'est à cause de cela que, lorsque les moqueries de Rhalun se sont faites un peu plus nombreuses, il a finit par exploser. Presque littéralement. Depuis cet incident, et en harmonie avec ce que l'orphelinat et le monastère lui ont appris, il se tiendra le plus possible à l'écart des ennuis et préfèrera privilégier le dialogue à la violence. Il espère juste qu'il ne reperdra jamais le contrôle comme il l'avait fait, s'en voulant beaucoup.

En tout cas, le jeune homme a un but et ne le perdra jamais de vue, même s'il prendra le temps de découvrir les nations qu'il visitera pendant son périple. Il voudrait voir la technologie avancée de Piltover, le port de Biglewater, la neige de Freljord... et tant d'autres choses ! Mais d'abord, il veut retrouver celle qui pourra lui dire qui est son père.
"

"Je suis né en Ionia, lors d'une nuit assez pluvieuse, d'une jeune femme aux cheveux châtain et aux joues parsemées de petites tâche de rousseur. Elle n'était pas de Ionia, venue là bas pour des raisons jusque lors inconnues. Quelques minutes après ma naissance, ma mère mourrait, épuisée et ayant perdu beaucoup trop de sang. Quelques heures plus tard, j'étais emmené par la femme ayant aidé à ma mise au monde à l'orphelinat du Clair de lune. C'est tout ce que je sais de ma naissance.

C'est là que j'ai grandi, entouré d'autres "petits malchanceux" comme nous appelait la directrice Eirine. Certains avaient connus leurs parents, les ayant perdus dans des accidents. Ceux-là étaient vraiment malheureux, faisant le deuil de ceux qui avaient partagés leur vie et les avaient profondément aimés jusque lors.
Nous autres, les orphelins de naissance, ceux qui n'avaient connus que les bras des nourrices et gouvernantes de l'orphelinat et ces murs un peu défraichis, nous n'étions pas si malheureux que cela. Nous formions une sorte de grande famille assez hétérogène, fourmillante de frères et de sœurs. L'amour maternel ou paternel ne nous manquait pas, après tout nous ne l'avions pas ou si peu connu. Bien sûr, quelque fois en voyant et en écoutant ceux qui avaient connus leurs parents, une envie de savoir ce que c'était pointait en nous, mais rapidement effacée par l'habitude de faire sans. Enfin si cela était vrai pour les plus jeunes, certains des plus âgés semblaient plus affectés par ce manque.
Je n'étais pas un bambin difficile : j'écoutais les nourrices, mangeais ce qu'on nous servait -même si quelque fois ça n'avait absolument rien d'appétissant et que ça semblait trop vert- et suivais les leçons dispensées trois fois par semaines dans une salle de l'orphelinat.

J'aurais même pu devenir quelqu'un de renfermé, participant certes aux activités et aidant les autres, mais qui n'ose ni parler, ni donner son opinion. C'était sans compter sur Tylle, mon meilleur ami, mon frère. Il avait à peine un an de plus que moi et lui était un véritable casse-cou. Je dirais même une tête brûlée. Si je ne causais pas de problèmes, lui les causait pour deux. Il amorçait des bataille de nourriture au réfectoire, essayait de se soustraire aux leçons et grâce à lui nous avons vécu des batailles d'oreiller plus que mémorables dans le dortoir des garçons. Il finissait souvent au coin, je me sentais plutôt mal pour lui dans ces moments là. On s'influençait l'un et l'autre : Grâce à lui je devenais un peu plus rebelle et spontané en grandissant tandis que j'arrivais à l'assagir et pour le plus grand bonheur de Cassia, la nourrice s'occupant principalement de notre dortoir.
Avec Tylle nous partagions tous et nous suivions les combats qui se déroulaient dans la Ligue, entre les différents Champions de chaque nation. On le pouvait grâce aux journeaux de la Ligue et aux récits de voyageurs racontant les combats qui s'étaient déroulés. Les enfants que nous étions étaient impressionnés par les exploits des Champions -même si nous n'avions que des informations partielles et que certaines dataient. Ils étaient tous si différents, tous si puissants. Femmes comme hommes se battaient à armes égales, certains avaient un aspect bizarre, d'autres une apparence plus normale, mais chacun était une véritable force de la nature. Nous ne comprenions pas encore la portée réelle qu'avait ces combats, pour nous, ça n'était que des sorte de jeu, dans lesquels il fallait être le plus fort. Et les histoires contées par les voyageurs, surement embellies et amplifiées, ne faisaient qu'ajouter au côté mythique des personnages. Nous avions chacun nos préférés, et personnellement je ne savais pas en détacher un seul.
J'adorais Ahri, elle était magnifique et dégageait une aura mystique avec ses queues blanches. Mais aussi Varus qui -s'il n'était pas le plus réputé des champions- m'intriguait, Draven et son sens de la mise en scène, Warwick le lycan intriguant. Bien sûr mon cœur penchait plus pour les représentants de ma faction.

Ma vie fut chamboulée alors que j'avais neuf ans et demi.
Avec Tylle et d'autres enfants nous étions dans la cour de l'orphelinat pour nous occuper du potager. C'était la saison des récoltes, et un plant me resistait, ne voulant pas sortir de terre. Je n'étais alors énervé et dans un mouvement plus râgeur que les autres j'ai causé un tremblement de terre et une fissure assez large s'est formée de mes pieds à l'autre bout du potager, faisant tomber les autres enfants. Cassia était vite intervenue pour les aider à se relever et calmer ceux qui, surpris, s'étaient mis à pleurer. La directrice elle-même était sortie et moi j'étais resté devant ma bêtise, plan de pomme de terre en main. Quand la main de la directrice Eirin s'est posée sur mon épaule, sans méchanceté, j'ai dis que j'étais désolé et que je n'avais pas voulu faire ça. Je n'avais qu'une envie, celle de pleurer mais je le faisais pas. Je voyais bien les regards inquiets de Cassia et de Tylle et je pensais avoir fait assez de dégat comme ça, je n'allais pas les inquiéter plus.
La directrice prit alors contact avec les moines du monastère de Shojin afin qu'ils m'accueillent. Il me fallait quelqu'un pour m'apprendre à maîtriser ce nouveau don, pour que je ne cause plus de dégât juste parce que je m'énervais sur quelque chose.

Si je comprenais les raisons de mon départ et surtout que je reviendrais une fois que mon don serait sous contrôle, m'en aller de l'endroit où j'avais mon meilleur ami, celle qui s'apparentait le plus à une mère pour moi et surtout quitter mes répères m'angoissais. Cette angoisse se répercuta par des légers tremblements de terres survenant pendant les quelques jours qui m'avaient séparés de mon départ. Mais rien de dévastateur.  Le Placidium et donc le monastère de Shojin n'étaient qu'à deux jours de l'orphelinat, mais j'avais l'impression que le voyage durait bien plus longtemps.
J'ai été accueilli par deux des moines du monastère. Je ne montrais pas à quel point je me sentais perdu en arrivant et fit un grand sourire au moine et à la moniale quand ils se sont présentés.

Mes leçons commencèrent dès le lendemain. Elles consistaient en de longue scéances de méditations. Je devais vider mon esprit pour me concentrer sur la magie qui me liait à la terre, ressentant ses vibrations, cherchant à les harmoniser avec celles qui parcouraient mon corps et coulait dans mes veines.
En parallèle je suivais un entrainement moins spirituel, bien plus physique m'aidant à faire corps avec la terre. Pieds nus, j'enchainais les katas avec lenteur cherchant alors à modifier les vibration que je ressentais pour les plier à ma volonté. Les premiers mois, je réussis à peine à faire trembler le sol. Ce manque de résultat me frustrais, j'avais l'impression que je n'allais jamais réussir et donc ne jamais rentrer pour retrouver Tylle et les autres.  Quand Illaya -la moniale m'ayant accueilli à mon arrivée- a remarqué mon malaise, je pris sur moi pour ne pas l'inquiéter et lui expliquais juste que j'avais peur d'être simplement nul. Elle me rassura, m'expliquant que tout le monde ne maîtrisait pas ses pouvoirs en quelques mois, certains mettais même plusieurs années. Si ça devait me rassurer, cela n'en fit rien, surtout à la mention du fait qu'il me faudrait peut-être des années avant de maîtriser mon don, et donc de rentrer. Pour ne pas aider, un autres des élèves du monastère, Rhalun, avait décidé de faire de moi l'objet de ses moqueries -à l'insu des moines et des moniales bien sûr-. Il me faisais remarquer à chaque fois que je n'étais pas très doué, que lui serait un grand mage du vent et que je serais toujours entrain de faire osciller de petits cailloux dans vingt ans.
Je me plongeais encore plus dans la méditation pour me connecter à la terre de manière spirituelle mais sans grand succès. A chaque fois les moqueries de Rhalun me revenaient en tête, mes peurs et mes doutes aussi. Lors des entrainements je maîtrisais les katas en eux même, mais je n'arrivais pas à ressentir mon élément. Un an passa comme ça, sans que je ne fasse de progrès signifiants. Quand au détour d'un couloir Rhalun me glissa une moquerie de trop, toutes mes angoisses refoulées depuis plus d'un an explosèrent. Littéralement. Le bâtiment à côté de moi fut partiellement détruit, le sol craquelé s'était affaissé et toutes les personnes à moins de cent mètres étaient tombées.
Par chance personne ne fut gravement blessé.

Je fus disputé. Pas forcément parce que j'avais perdu le contrôle de mon pouvoir, mais parce que je n'avais rien dit sur mon mal-être, rien dit sur les moqueries de Rhalun et que c'était la cause de cette perte de maîtrise. C'était tout cela qui m'avait également bloqué dans ma progression. Illaya m'expliqua que je devais être en paix avec moi même si je voulais pouvoir me maîtriser, et que montrer aux autres que je ne vais pas bien n'était en rien quelque chose de mal, que leur dire que ça va mal ne les importunerait pas, bien au contraire. Il fallait que j'apprenne à maîtriser mes émotions plutôt que de les confiner. Rhalun fut réprimandé lui aussi, pour ce qu'il m'avait fait subir tout ce temps.
On m'imposa des séances de méditation plus poussives, plus longues, plongé dans le noir et le silence, respirant un encens apaisant m'aidant à me concentrer. Tillaya les supervisait, s'assurant que cette fois je ne laisserais pas de pensés parasites s'insinuer et faire barrière entre moi élément et moi. La différence fut radicale, et je pus me synchroniser avec la terre en quelques semaines à peine.
Rhalun vint même s'excuser platement de ce qu'il m'avait fait subir. Il ne s'était pas imaginé que de simples mots pouvaient m'avoir affecté autant. Je l'ai pardonné, nous n'étions que des enfants après tout.
Dans le même temps je rachetais ma faute en aidant à la reconstruction de ce que j'avais cassé, ce qui était tout à fait normal. Cela me permis de développer ma musculature et mes forces, et j'en avais bien besoin car j'avais eu une poussée de croissance assez impressionnante et ressemblais à une brindille avec des bras et des jambes. J'avais presque douze ans et mesurais déjà un peu moins d'un mètre quatre-vingt, ayant poussé d'un seul coup.

Ma vie fut plus simple au monastère. Rythmée par la méditation matin et soir, les katas dans l'après midi, et les différents travaux pour réparer mes dégâts ou aider à l'entretien du monastère. Pour m'éviter de reperdre le contrôle en enfermant mes sentiments, Tillaya me conseilla de me confier, mais aussi -à défaut- d'écrire dans un journal afin de me soulager du poids de mes émotions négatives. Je suivis ses deux conseils, parlant de ce que j'avais sur le cœur tout en le confiant au papier. Je pouvais même continuer à suivre les exploits des Champions que j'adorais.
En six ans au monastère, j'ai appris à sentir le "cœur" de la terre battre. Ses pulsations faisaient échos aux miennes, la chaleur qu'elle abritait en s'enfonçant parcourant mes doigts et se dissipant lorsque je revenais à la surface. Je pouvais faire trembler de petites ou de grandes portions de terrain, à l'amplitude que je souhaitais. Les vibrations de la roches roche battaient également au diapason des miennes, et j'arrivais à faire se briser des roches et rochers. Je ressentais chaque type de sol, pouvant adapter mon rythme au leur.
A force de travail, de concentration et de patience, j'apprenais aussi à modeler la terre. Les premiers résultats ne volaient pas bien haut, et me laissaient hors services plusieurs jours, voir semaines. Je creusais de petits trous, d'à peine deux centimètres de profondeur, ou élevais de petits tas d'une hauteur semblable. Ces démonstrations ne semblaient en rien impressionnantes de prime abord, me voir transpirer et me concentrer à en rougir pour finalement voir un trou formant une petite flaque sèche, mais chaque personne connaissant un peu la magie et la difficulté d'y faire appel comprenait que ça n'était en rien quelque chose de simple, et que c'était un résultat honorable. En quelques années les trous sont devenus plus profond de près de cinquante centimètres et les murs ont grandit de près d'un mètre, mais la difficulté restait. Ce n'était pas quelque chose que j'utilisais à foison, cette utilisation me vidant de mes forces pendant un long moment, et n'étant pas le fruit de mon instinct, ce n'était pas la première chose vers laquelle je me tournais.
Mais au final, j'avais réussis à maîtriser mon don, et si je pouvais certainement lui donner plus d'ampleur, de durée ou de puissance, ce serait quelque chose que je développerais sur la durée sans avoir besoin du cadre d'un monastère. Je pus alors retourner à l'orphelinat, comme il était prévu, à quinze ans.

Ce fut presque aussi difficile de laisser le monastère derrière moi que ça l'avait été lorsque je suis partit de l'orphelinat. J'avais les larmes aux yeux quand Tillaya me prit dans ses bras un long moment pour me dire au revoir. Rhalun me fit de grands geste d'au revoir alors que je m'éloignais pour rentrer.
Je retrouvais un Tylle changé. Il avait grandit -enfin bien moins que moi je le dépassais de deux tête-, et pris du volume en aidant au moulin voisin. Cassia avait prit de l'âge elle aussi, ses cheveux grisonnant par endroit et ayant des rides aux coins des yeux plus marquées. Quand ils m'ont vu arriver, Tylle s'était lancé dans une course effrénée pour me sauter dessus, Cassia elle, s'était contentée de m'attendre avant de me regarder de bas en haut en commentant ma taille, mes muscles et le fait que j'avais l'air apaisé.
Dès le lendemain, j'accompagnais Tylle au moulin pour proposer mon aide. On m'indiqua des fermes dans les environs qui avaient besoin de mains d’œuvres pour le labour et creuser des tranchées. J'allais alors travailler, me servant de mon don et de mes forces lorsque je ne pouvais faire appel à la terre. Les mois passèrent doucement, je retrouvais le Tylle que j'avais toujours connu, l'ambiance d'entraide de mon village et de l'orphelinat. Je me sentais presque chez moi tout en sentant qu'au fond je sentais quelque chose me manquait. Quoi, je ne le savais pas encore, je notais cette impression dans mon carnet et me confiais à Tylle, mais je ne trouvais pas ce que c'était. Mon ami eut une idée bien a lui, il me manquait quelqu'un à aimer. Lui même sortait avec l'une des filles de l'orphelinat, d'un an notre cadette : Aellia. Mais ça n'était pas ça, j'en étais certain. L'amour n'était pas quelque chose qui me rebutait, loin de là, mais je n'osais pas assumer mes élans romantiques. Surtout que je ne savais pas du tout s'ils trouveraient réponse... C'était autre chose que je ne trouverais que plus tard.

Avec le temps, beaucoup de nos amis de l'orphelinat finirent par partir. Les plus âgés qui n'avaient trouvé personne partaient vivre leur propre vie et d'autres trouvaient une famille. La petite amie de Tylle fut de ceux qui furent adoptés tardivement, partant à ses seize ans, brisant le cœur de mon ami.
Voir au fil des ans d'autres se faire adopter me fit comprendre ce qui me manquait : le fait de connaître mes origines. Je savais déjà par Cassia que ma mère était morte en me donnant la vie, qu'elle avait des cheveux châtains, ne venait pas d'Ionia et que j'avais hérité de ses tâches de rousseur, mais je n'avais aucune information sur mon père. Ce constat m'apporta un espoir, celui qu'il pouvait toujours être en vie, quelque part, et qu'il ignorait juste mon existence. Je gardais cet espoir pour moi les premiers temps, comme un secret précieux que l'on a peur de partager et de voir terni par l'avis des autres.  
Ce fut pendant cette période que les tensions entre la Ligue et certains Champions se développèrent. Au début, il se racontait juste que certains Champions étaient absents de la Ligue, mais cette dernière assurait que c'était dû à des raison légitimes, rien ne devait alarmer le public. Puis d'autres rumeurs nous parvinrent, moins rassurantes, plus tranchées. Les accusations contre la Ligue et les invocateurs parvinrent jusqu'à nous. Les Champions absents l'étaient car ils se rebellaient contre la Ligue. Pour ma part, j'espérais simplement que toutes ces tensions n'apporteraient pas de nouvelles guerres entre les nations, et que les Champions n'auraient pas de problèmes...

De mon côté je continuais de rêver à ce père qui était peut-être toujours en vie. Est-ce qu'il savait que j'existais ? Peut-être me cherchait-il en vain depuis toutes ces années ? Ou non, mais ce qui était sûr c'est qu'il y avait une possibilité qu'un homme dans le monde partage mon sang et soit alors ma famille, la vraie.
Je finis par me confier à Tylle au bout de plusieurs semaines. Inconsciemment, pendant ma prise de conscience quant à mon père,  je l'avais mis de côté et ne l'avais pas impliqué dans ma vie et en m'en rendant compte je m'en étais un peu voulu. Quand je lui avouais pour mon père, j'avais eu peur dans le même temps qu'il ne soit vexé, voir jaloux de cette possibilité. C'était mal connaître Tylle qui me regarda avec des yeux brillants et un air ravi. J'avais la chance d'avoir peut-être un parent en vie sûr cette terre, qui pourrait peut-être avoir envie de me connaître en plus !
C'était formidable me dit-il : il nous suffisait de demander à la directrice Eirine si elle n'avait pas plus d'informations sur ma mère. Peut-être avait-elle été mariée, ou avait de la famille connue ? Tylle m'ouvrit ainsi la perspective d'avoir une famille plus grande que ce que je m'étais imaginé, pleine d'oncles, de tantes, de cousins, de cousines. Des grands-parents qui sait ? Il tempéra aussi un peu mes ardeurs en me disant qu'il n'était pas exclu que mon père n'ai pas voulu me garder à la mort de ma mère, mais il fallait que l'on en ait le cœur net. Lui-même n'avait pas le luxe d'une probabilité de famille, il avait été déposé devant l'orphelinat à quelques mois, sans papiers, sans personne pour lui donner ne serait-ce qu'un début de piste.
La directrice Eirine était quelqu'un de très honnête avec les orphelins venant la voir pour poser des questions sur leur origine. si elle n'avait aucune information elle le disait, si elle en avait mais n'avais pas le droit de les donner par demande des familles, elle le disait aussi. Nous savions que si elle avait des informations sur ma mère ou mon père elle nous les donneraient si personne ne lui avait demandé de garder le secret.
Quand je suis allé la voir avec Tylle, elle m'a alors dit que ma mère n'avait pas de famille, enfin pas de famille connue. Par contre elle avait un détail concernant mon père, la sage femme qui m'avait amené ici avait dit que contacter mon père n'était pas possible car il était bien trop célèbre pour cela et était donc inaccessible. Elle n'avait pas donné de nom, mais visiblement le connaissait. Ma mère lui avait-elle dit, on ne le savait pas, mais cette femme devint alors ma seule piste pour trouver mon père.
Une idée simple et évidente s'imposa dans mon esprit. Quels hommes étaient célèbres dans tout Runeterra, qui pouvait être si inaccessible que l'on ne pouvait pas le contacter afin de lui annoncer qu'il avait un enfant dont la mère était morte en couche ?
Les Champions.

Cette réalité m'a frappé d'un coup, alors que nous étions au travail avec Tylle.
J'ai lâché mon sac et l'ai attrapé aux épaules en lui hurlant presque dessus tant j'étais enthousiaste. Un Champion, mon père ne pouvait être qu'un Champion ! J'étais le fils d'un Champion de la Ligue ! Ces guerriers forts et puissants, ces hommes se battant pour leur nation pour éviter les guerres ! Il fallait que je retrouve cette sage femme, qu'elle me dise tout ce qu'elle savait. Il fallait que je parte, maintenant, que je me mette en route et que je la trouve, en la trouvant je saurais et je pourrais rencontrer et connaître mon père !
Tylle n'eut pas vraiment le temps de réagir ou de dire quoi que ce soit que je filais comme une flèche vers l'orphelinat. Une fois rentré, je fis mes bagages, surexcité au point que je ne me rendais pas compte des légers tremblements que je provoquais dans la terre.
Cassia me trouva dans le dortoir, en train de refermer mon sac. Elle me stoppa net, me demandant ce que je faisais. Je lui expliquais d'une manière un peu trop rapide ce que je venais de découvrir, ce que j'étais persuadé d'être, et qu'il fallait que je retrouve la seule femme qui serait capable de mettre un nom sur le visage de mon champion de père. D'un mouvement de main doux, la nourrice m'obligea à m'assoir sur mon lit avant de prendre mon visage entre ses mains. Elle me demanda de me calmer, je ne pouvais pas partir d'un seul coup, sans aucune préparation. D'autant plus que je n'avais pas vraiment de preuves que mon père était un Champion, à part le côté célèbre. Mais ce détail pouvait aussi désigner quelqu'un d'une famille importante, sans forcément être un Champion.
Je n'en démordais pas. J'en étais persuadé, une voix me chuchotait à présent que c'était la vérité, que je le savais au fond de moi que mon père était un Champion.
Elle réussit à calmer mon ardeur en m'expliquant qu'il faudrait d'abord que j'économise pour pouvoir me payer mon voyage. Ensuite, elle me promit de chercher à en savoir plus sur la sage-femme qui était venue me déposer. La dame pouvait être toujours en Ionia, peut-être même pas loin, je n'avais pas besoin de faire un long voyage pour débuter. Je mis alors les bouchées double au travail, aidant autant que je le pouvais, partout où je le pouvais. Tylle fit aussi des heures supplémentaires pour m'aider. Il était aussi impatient que moi.
Lorsqu'enfin Cassia finit par avoir les informations qu'il me fallait, la nouvelle tomba comme un couperet. La sage femme s'appelait Thaedna, elle devait avoir une soixantaine d'année à présent et elle était repartie à Piltover, d'où elle venait.

Cette fois, personne ne me retint. Tylle n'arriva pas à se retenir de pleurer en me voyant passer le seuil de la porte avec mon sac, mon argent et mes ambitions. Cassia m'a serré longuement dans ses bras et offert un long bâton au manche incrusté d'obsidienne. Je pourrais le manipuler avec mes pouvoirs et me défendre si j'en avais besoin. Même la directrice Eirine eut la larme à l’œil, me donnant une petite bourse d'argent pour compléter mes économies et m'ordonnant de revenir un jour, vivant et en bonne santé, leur dire bonjour."

Priam
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Sona Buvelle
Les mots sont des notes de musiques
Sona Buvelle
Sona Buvelle
Les mots sont des notes de musiques
Dim 10 Fév - 22:26
Bimbamboum Priamouille/Letouille !

Vu que je suis aussi originaire d'un orphelinat d'Ionia je vais m'occuper un peu de ta fichette ~

Physique :

Rien à dire : un garçon mignon du plus sur Runeterra c'est toujours bien !

Caractère :

Un poil trop court pour moi, d'ailleurs si je ne m'abuse on atteint pas les 250 mots du minimum syndical. Même si on comprend ce que tu avances je pense que ça mériterait un peu d'approfondissement afin de bien cerner le personnage. N'hésite pas par exemple à expliquer pourquoi il est comme ceci ou comme cela ou à nous parler un peu plus de ses défauts, ... Lesquels de ses traits lui jouent parfois des tours où à l'inverse lui permettent de s'en sortir dans la vie. (Par exemple en lisant ton histoire je comprends qu'il est quelqu'un d'assez facile à vivre et très appréciable puisque les gens semblent vouloir l'aider et être particulièrement émus de son départ)

Histoire :

Plusieurs choses à redire :

La magie :
Ionia est une contrée très particulière : ses terres sont empreintes de magie et la connexion avec les esprits y est plus importante que nul part ailleurs. Cependant, même si la relation entre les ioniens et la magie est très particulière, peu nombreux sont les humains à savoir l’utiliser. Pour la plupart ils en sont parfaitement incapables, ou ne savent pas réellement utiliser ce pouvoir. Cela s’enseigne et “mage” est une activité à temps plein, il est rare que quiconque ayant appris à manipuler ce don n’ait pas par la suite un certain nombre de responsabilités et d’obligations (tacite). Priver la communauté de ce pouvoir qui a pris longtemps à maîtriser (et donc de nombreuses heures passées auprès d’un professeur) paraît assez égoïste, surtout à Ionia !

“J'avais étrangement peur que cette découverte change quelque chose à ma vie actuelle, comme si l'on pouvait m'envoyer ailleurs pour apprendre à la maîtriser alors que la magie faisait partie intégrante de notre vie”
Peur justifiée ! Si ta magie est découverte il te faudra en effet faire un passage chez des gens qui pourront t’apprendre à l’utiliser.



-> Télékinésiste et magicienne du vent ce ne sont pas des capacités anodines ! Surtout si la directrice est capable de soulever un adolescent par la pensée, ce n’est pas rien !
-> Il est possible de se former seul, les plus doués parviennent à cela mais cela rend évidemment la progression plus lente et plus ardue. Priam peut apprendre dans son coin mais il sera confronté à certaines limites.
-> S’il apprend seul il doit se cacher et trouver une explication aux dégâts qu’il a causé.

L’âge :
Il faut probablement être un brin irresponsable pour laisser des enfants de 10 ans sans surveillance pendant la journée en espérant qu’ils reviennent avant le repas du soir. Même par paire, il est peu probable qu’ils puissent se sortir d’une situation problématique. Tylle et Priam peuvent tout à fait aller s’amuser sur le marché mais il leur faudrait alors échapper à la surveillance du personnel de l’orphelinat le temps d’un méfait ou faire le mur.
Il en va de même pour les leçons de combats : cela sous-entend-il que le duo paie les cours ? Si oui qui accepte le pognon de deux gamins de 10 pour leur apprendre à cogner ? Et où auraient-ils trouvé cet argent ? Sinon : pourquoi prendrait-il le temps de leur apprendre ?



Education :
C’est the point : Ionia c’est une contrée centrée sur l’harmonie et la spiritualité. Les parents éduquent leurs enfants dans cette idéologie, la paix est l’un des principes les plus important de l’île (ce qui a valu des mésaventures au peuple ionien face à l’invasion des armées noxiennes). Bien que cela n’empêche pas qu’il existe des sales gosses comme partout, des bandes de jeunes qui terroriseraient le peuple se ferait soit rapidement écarter de la société, soit remises sur le droit chemin en deux temps trois mouvements.


Un enfant ça coûte. Un orphelinat ça coûte donc beaucoup. Il faut nourrir, loger et blanchir les orphelins bien sûr mais aussi toutes les personnes qui y travaille et bien évidemment, c’est pas comme un pensionnat où les parents donnent de l’argent chaque année pour accueillir leur progéniture.
Ca veut donc dire que c’est la communauté qui permet d’offrir cet habitat. Les enfants qui y sont ne sont pas livrés à eux-même en journée mais rendent plutôt service en échange. Les plus jeunes suivent les enseignements de base donnés par les gouvernantes ou des précepteur et les plus grands quand à eux se mettent au service des autres. Quand tu dis

“Nous avions même finis par aider dans ce même entrepôt à transporter les sacs de grains.”

Il faut bien comprendre que c’est quelque chose qui est normal à partir d’un certain âge. Quand Priam passe ses journées à taper dans des sacs où à s'entraîner dans son coin cela veut dire qu’il désobéit et ne travaille pas alors qu’il le devrait. Soit il ne fait pas ce qu’il doit, soit il doit s’entraîner le soir ou le matin avant de partir pour faire son devoir de citoyen. Etant donné qu’à un moment tu parles “d’être au travail avec Tylle” je considère que c’est acquis mais je préfère être sûr car cela paraît parfois ambigu dans ton texte.


Points forts :
Parce que j’ai beau parler, ta fiche n’est pas mauvaise ! Surtout en considérant que tu ne connaissais pas le lore avant, ce genre de fautes n’a rien de grave. Ce que tu nous propose-là c’est un excellent début qui ne demande qu'à être canalisé.
Le personnage de Priam est intéressant, il a un but et un caractère que l’on découvre bien dans l’histoire. (Il faut juste le décrypter et l’écrire en plus au bon endroit de façon claire).
Les PNJs eux sont bien gérés et apporte à l'histoire sans être lourds ni des machines à "deus ex". Les quelques passages sur sa vie et péripéties donnent de la profondeur sans surcharger le texte.
Brefouille : on a un chouette OC qui ne demande qu’à s’intégrer complètement dans le lore et c’est pour cela que le STAFF est là !

Propositions :
Voici ici quelques propositions (la liste n’est pas exhaustive évidemment, ça reste ton perso) ou perspective pour que l’histoire de Priam colle au mieux à l’univers :

-Les Monastères : Il existe de très nombreux ordres spirituels sur l’île et ces derniers accueillent régulièrement des orphelins. Intégrer Priam à l’un d’eux peut se faire très naturellement : soit la demoiselle qui l’apporte se tourne vers un temple pour recueillir un enfant d’une personne très importante car elle sait qu’en son sein il sera éduqué et préparé s’il a hérité du talent (exemple : la magie) de son père.
On peut aussi développer cela à partir de la découverte de son pouvoir (les gouvernantes incapable de lui apprendre à utiliser son aptitude l’y aurait amené).
Les arts martiaux font aussi partie du culte en ces lieux, c’est d’ailleurs à peu près les seuls endroits où l’on peut apprendre à se battre. Si Priam veut vraiment devenir plus fort c’est naturellement vers les ordres qu’il devrait se tourner plutôt que vers des paysans qui n’y connaissent pas grand chose et lui explique comment taper dans du grain.

-L’orphelinat : Il est possible cependant de considérer que Priam a toujours été à l’orphelinat, jusqu’à son départ. D’ailleurs s’il part à 19 ans on peut supposer qu’il n’aurait pas pu rester beaucoup plus longtemps au sein de cet structure, si ce n’est en décidant d’y travailler.
Comme je disais plus haut s’il reste au sein de l’orphelinat son apprentissage sera plus long et plus difficile car ses journées seront déjà bien remplies par le travail. Surtout s’il doit gagner un certain pécule pour partir : même s’il est aidé cela signifierait qu’il doit en faire encore un peu plus pour espérer recevoir un dringuelle en plus.
Dans cette situation il n'aurait aucune "référence" directe vis-à-vis de la magie et, bien qu'il la connaisse, la découverte approfondie et la maîtrise de ses pouvoirs seront alors des points à creuser un peu plus, soit dans la fiche, soit en RP par la suite !
Cela vaut aussi pour l'entrainement au combat : il peut s'entraîner physiquement mais sans personne pour lui enseigner de technique c'est une compétence qu'il lui faudra acquérir autrement.

Quoi qu’il en soit après avoir grandi dans ce milieu Priam aura intégré les traditions ioniennes. Sagesse, tolérance, pacifisme, … Les codes ioniens sont bien particuliers.


Brefouille : Ta fiche a un potentiel vraiment sympa, n’hésite pas à venir vers le staff si certains points ne sont pas clairs ou si tu as des questions/des envies.
Continue sur cette voie et tu recevras ta validation rapidement !

Chinese Sona


Sona Buvelle
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Priam
Ze killeur
Priam
Priam
Ze killeur
Mar 12 Fév - 1:49
Coucou !

J'ai édité ma fiche en fonction des conseils, en espérant que cette fois sera la bonne !

J'ai étoffé le caractère et modifié l'histoire.

Voilà, dans l'attente du coup !
Priam
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*Miss Fortune*
*Miss Fortune*
*Miss Fortune*
Mar 12 Fév - 21:35
Bienvenuuuuue (officiellement)
*Miss Fortune*
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Gangplank
Bilgewater - your king has returned
Gangplank
Gangplank
Bilgewater - your king has returned
Sam 23 Fév - 11:35
Yaaaaaar !!!!

Hum hum...

Bonjour à toi matelot !

Je serais plus court dans mes propos que cette chère Sona, mais je vais surtout me concentrer sur des points précis de ta fiche.

Tu maitrise donc la magie tellurique ? Voilà qui pourrait intéresser une future passereau... Cependant, la puissance de ton pouvoir nous gêne un peu : tu peux faire trembler le sol, modeler la terre, faire pousser des plantes... Tout ceci sont les caractéristiques d'un puissant champion !

C'est un petit peu trop... J'admets qu'il est tout à fait possible que sous le coup de la colère, tu ais pu détruite une partie d'un temple (ça arrive souvent avec moi, mais j'utilise un canon de 16 livres pour un tel résultat...).

De ce fait, la maitrise actuelle de ton pouvoir doit être un peu plus limitée, surtout que grâce aux enseignement du monastère, ton personnage va apprendre à canaliser son lien avec la terre.

Concernant ton histoire, elle est bien ficelée, très intéressante à lire et nous donne envie de suivre le reste de ton parcours initiatique.

Même si je trouve ton caractère encore un peu court, je saisis très bien la personnalité générale de ton personnage, et c'est ce qui compte.

Pour le physique, je ne vais pas revenir sur le commentaire de Sona... C'est plus qu'acceptable.

Pour résumer, tu dois juste réguler la puissance de ton pouvoir.

Encore un petit effort et tu sera digne de rejoindre mon équi... Notre équipage !

A bientôt moussaillon.
Gangplank
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Gangplank
Bilgewater - your king has returned
Gangplank
Gangplank
Bilgewater - your king has returned
Dim 24 Fév - 11:36
Ahoy !

Après relecture et discussion avec mes pairs, il a été remarqué que tu avais bien pris note de nos commentaires...

De ce fait, je t'annonce officiellement que tu es VALIDÉ !!!
Gangplank
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Priam
Ze killeur
Priam
Priam
Ze killeur
Dim 24 Fév - 12:24
Prend une grande inspiration
Merciiiiiiii !
Je ferais de mon mieux pour être un joueur actif et dont les rp seront agréable à lire !
Priam
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