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Valh
Valh
Valh
Ven 10 Aoû - 16:55
Valh, l'âme entre deux eaux. 8xfw_L90
« C'est en m'enlevant ceux qui m'avaient offert la sensation d'exister, que toutes craintes de mourir s'en allèrent.  »

Valh, l'âme entre deux eaux. EOZsli5b
Personnage
• NOM : Valh
TITRE/SURNOM : L'âme entre deux eaux
LIEU DE NAISSANCE : Freljord
RÉSIDENCE : Bilgewater
OCCUPATION : Refaire l'éducation de quelques crapules sournoises et malodorantes, combattre ses propres ''démons'' et chercher comment se venger de deux.. individus.
FACTION : Bilgewater

Joueur
PRENOM/PSEUDO : Chains ou Karthus
ÂGE : 21ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? Je crois qu'une certaine Liche à la réponse.
PRÉSENCE, COMMENTAIRES : Mhmm.. assez souvent pour le moment.
LIEUX DU RÈGLEMENT : Vu et validé par Varus




Si les yeux sont le reflet de l'âme vous verrez alors en cette jeune femme, qu'une partie de la sienne semble vide. Un creux qui ne fut pas creusé directement en elle, mais fait par la perte d'être qui lui étaient proches. À ces mêmes personnes attentifs qui savent lire dans ces derniers, vous pourrez voir au-delà de sa neutralité, un esprit à la fois combatif, mais aussi brisé.

Ses cheveux autrefois d'un noir ébène, était devenu blanc suite à sa première rencontre avec la brume noire et ses spectres. Longs, allant plus bas que la moitié de son dos, ils sont ondulés et taillés en flèche à l'arrière. Sans vent, aucunes mèches ne pouvaient entacher son visage de leur présence, notamment par le manque de frange qui s'expliquait par la raie droite et centrale, divisant ainsi ses cheveux en part -presque- égale sur chaque côtés. Cette couleur allait de pair avec la pâleur naturelle de sa peau. Dans la continuité du visage, son nez est relativement fin, elle a des joues légèrement creusées démontrant une mince alimentation, ainsi qu'une légère cicatrice, qui juste en dessous de sa tempe droite, poursuivait son parcourt jusqu'au bas de sa mâchoire. Il était aussi à dénoter de fines lèvres dont la couleur semblait tirait sur un léger pourpre.

Son cou proportionnel à sa corpulence, est relativement fin. Une chaîne en argent sur laquelle était accroché un pendentif qui représentait un symbole particulier et unique de Freljord, l'ornementé. Suivant la finesse de son cou, les courbes de son corps annonçaient une certaine minceur, avec quelques muscles allant avec sa silhouette et preuve d'une ou plusieurs activités physiques bien réelles et présentes. Quelques cicatrices étaient gravées sur sa peau assez pale, la preuve de nombreuse confrontations. Sa poitrine n'étant pas très généreuse, lui permettait de se mouvoir à ses aises. N'étant pas inexistante, elle avait de quoi prouver qu'elle était une femme et possiblement capable de faire plaisir à un homme, mais là n'était pas la question.  

Ses hanches disposaient aussi de quelques courbes bien tracées, ainsi que de quelques cicatrices, dont une qui sur celle de gauche, frôlait les marques peintes en bleue qu'elle avait depuis.. depuis toujours à ses yeux. Cette œuvre avait les mêmes traits que son pendentif et confirmait alors en plus de son accent, son affiliation avec les Terres enneigées de Freljord. Le reste de son corps n'échappait ni à sa pâleur, ni à sa minceur et possédait par endroit quelques rares marques de confrontation. Ayant éclairci sur la couleur et la corpulence, je pourrais ajouter à cela, que sa posture et généralement droite, du moins, lorsqu'elle est à même d'être vu par d'autres ou lorsqu'elle cherche à combattre ses ''démons'' intérieurs. Enfin, cela doit toucher au caractère. La taille peut-être ? Elle doit être en dessous de 1m 70cm.

Le côté vestimentaire... la première chose à noter est bien le fait qu'elle ne sort jamais sans le tricorne qui lui sert de couvre-chef. D'une couleur sombre et des formes basiques, une plume est à l'arrière de celui-ci, bien souvent blanche si elle ne se retrouve pas couverte de sang, de crasse ou d'autres matières plus ou moins douteuses. Avec celui-ci, elle attache généralement ses cheveux, que ce soit en queue de cheval ou en natte, mais vous ne la verrez jamais avec  un chignon ni même des couettes. Elle déteste ça.

Sa veste d'une couleur similaire au tricorne est longue, très longue. Son col, qui est une sorte de renforcement en cuire, monte pour ce qui entoure son cou jusqu'à hauteur de sa mâchoire. C'est en redescendant que l'on peut s'apercevoir qu'il s'arrête en haut de sa poitrine pour remonter à ses épaules, lui donnant une carrure plus solide pour une femme. Dans le dos, le renforcement en cuir tombe comme une cape, des fois allant plus bas que son fessier, d'autre lui arrivant à mi-dos, cela dépend simplement de celui qu'elle veut arborer. Le bas de sa veste arrive jusqu'à ses chevilles. À l'arrière dans le bas de son dos, elle se scinde en deux, comme en queue de pie si le terme est exacte. Au niveau de sa taille, deux fines ceintures permettent une meilleure accroche à sa veste pour ses hanches.

Sous celle-ci, au niveau du cou, elle possède un long et large foulard généralement blanc, qu'elle peut remonter au niveau de son nez. Foulard qui peut être utile même temporairement face à la puanteur de certain. En dessous, il y a en temps normal une chemise foncée accompagnée d'un haut en manche courte d'une couleur plus claire, le tout, recouvre son pendentif qu'elle veut garder au plus proche d'elle et caché des autres. Son bas : en premier lieu, une épaisse ceinture maintient son pantalon à sa taille. Celui-ci est sombre et surplombé par de grandes et épaisses bottes qui montent à plus de la moitié de ses mollets et possèdes des talons bas. Sa veste bien attendu à manches longues, est par moment recouvert au niveau des avant-bras par de longs gants en cuire. Je ne vais pas m'attarder sur les sous-vêtements. Il est logique qu'elle en porte.

N'allons pas oublier le précieux cadeau de Weynn : un sabre. Le jeune homme qu'elle aimait, lui avait fait faire une lame sur mesure, la base ressemble fortement à un sabre basique de pirate. Seule la longueur et la largeur se voient légèrement changer pour plus de finesse, de souplesse et de portée, tout en conservant les magnifiques courbes de cette lame à la fois élégante et barbare. En revanche, la garde restant classique, séparant la lame du manche, tout en remontant au bout de cette dernière, conserve une couleur métallique voir argentée et non doré. Que ce soit sur la garde, le manche ou le bout de celui-ci, le symbole de la marque qu'elle avait sur sa hanche gauche est gravé sur ces parties de l'arme. Soit disant trempé dans la glace la plus pure et intense de Freljord, il est vrai qu'elle dégage un certain froid. Cela est peut-être dû à sa propriétaire.

C'est une arme qu'elle gardera toujours sur elle, au niveau de sa ceinture et dont elle ne se séparerait jamais.

Autre point important : pour une personne vivante à Bilgewater depuis bien des années, il est à noter qu'elle ne possède pas d'arme feu. Par choix personnel ou par manque de moyen, il faut croire qu'elle ne se sent pas assez menacée pour avoir l'idée de faire l'acquisition de l'une de ses armes à distance.
Si Bilgewater ne vous a pas changé, c'est que vous vous apprêtez à finir dans votre tombe bien plutôt que prévu et ça, Valh l'avait compris.

À première vue, rien ne la détacherait d'un humain normal. Une démarche similaire à un homme ayant une certaine assurance, la posture haute de son menton comme une femme à l'estime élevée de sa propre personne, voir considérant les autres comme inférieur, mais aussi une certaine finesse et discrétion qui la rendait moins visible aux yeux des autres, voulant rester quelque peu ''effacée.'' Son regard de givre semblant perçant, ne laissait aucun détail lui échapper, tandis que son visage n'affichait rien d'autre qu'une neutralité presque glaçante, laissant deviner un calme -presque- à toutes épreuves et d'un autre côté, semblait démontrer qu'aucun sourire n'avait déformé ses lèvres depuis bien longtemps.

Montrer cette estime n'était principalement qu'une façade. Bien entendu, elle avait certaines compétences dont elle pouvait être fière, mais pour elle, rien n'était acquis et les nombreuses raclées qu'elle avait pu essuyer dans sa vie le lui rappelaient encore à chaque instant de sa vie, sans compter les nouvelles à venir. Quoi qu'il advenait, pour éviter de se faire dévorer par les squales bipèdes de la terre ferme toutes les cinq minutes, il fallait faire preuve de cette assurance pour ainsi, n'avoir que les plus vaillants et sournois à affronter par la suite. Des altercations plus dangereuses certes, mais moins fréquentes.

Ces jeux de force pouvaient être agaçants et redondants à la longue, malheureusement, la vie était faite ainsi et pour ne pas être délaissé aux charognards affamés des quais, il fallait faire preuve d'une solide patience, d'un sang froid à toute épreuve, d'une certaine force de frappe et / ou alors d'une sournoiserie telle que personnes ne verraient vos coups arriver afin de battre ses adversaires ou espérer l'emporter. Parfois, il suffisait juste de savoir se taire au bon moment. Ces traits principaux étaient loin d'être les seuls pour se forger un bon caractère. La volonté et la détermination de vaincre étaient aussi de mèches et formaient un beau cocktail pour que la Freljordienne de naissance, puisse se frayer un chemin anonyme, mais vivable aux seins des quais.

Bon.. n'allons pas faire que de la mauvaise pub à Bilgewater. La vie dans ses ruelles n'étaient pas que dangers et affrontements, certains bougres, des marchands ainsi que des passants n'étaient pas non plus si mauvais. Bien qu'une majorité utilisaient la sournoiserie pour vivre, ce qu'elle-même pratiquait, elle avait quelques notions de respect et de culpabilité à détrousser les plus pauvres, ce qu'elle ne fit jamais par ailleurs. En revanche, alléger certaines crapules ne la gênait pas, aucunement même, cela l'amusait. Après, quant à ses démarches vis-à-vis des autres, elle n'était pas très bavarde, un peu effacée. Il était à croire qu'elle était timide. Enfin, elle pouvait tout de même s'ouvrir aux autres en de rares conditions/occasion. Si quelqu'un venait à lancer la conversation, elle ne refusait pas, écoutant et échangeant avec la personne en question.

Notons aussi que quelques matelots, vendeurs et autres consommateurs pouvaient être de bonnes compagnies. Surtout dans les bars même s'il y résidait quelques bagarres.. mouais, enfin les preuves de force se font partout et quand l'on cumule la bêtise et l'alcool, voilà le carnage. Enfin passons. Il y avait une époque où dans ces mêmes bars, une jeune femme qui savait profiter un peu de la vie, riant et partageant quelques récits. Y allant par moment accompagné de son père afin de pouvoir le voir sobre même si cela ne durerait pas. Quoi que l'on pouvait dire, elle l'aimait bien et elle était persuadé que comme elle le ferait pour lui, il la protégerait de tout danger et.. il lui avait tout de même offert cette vie. Bien qu'il y avait mieux, elle ne s'en plaignait pas. Si elle n'y allait pas avec son paternel, c'était en compagnie de Weynn afin de fêter leur joie. Il fallait bien avouer que boire seul, n'était pas très agréable. Ces moments furent rares, mais étaient la preuve qu'elle savait rire et s'amuser. Enfin, les vrais moments de joie n'étaient pas forcément dans les bars, mais plus en compagnie de son partenaire, peu importait les lieux.

Une autre manière de jouer était aussi les défies. Que cela se fasse entre son compagnon et elle, ou avec les acharnés de la force et de la sournoiserie, elle avait fini par y prendre goût assez rapidement, appréciant fortement les risques pouvant être encouru. Au moins, à y réussir, elle gagnerait plus de respect ou un peu de répit de la part de ces moussaillons d'eau douce. À les rater, elle finissait blessée et délesté de certains de ses biens ou courses. Par moment, il était à croire qu'elle aimait ça. C'était même un des points qu'appréciait son partenaire : sa force de caractère, sa résistance à la douleur et une certaine maladresse lorsqu'il s'agissait d'être plus féminine. Oui.. elle ne l'était pas vraiment, bien qu'elle avait une démarche assez gracieuse.

Maintenant l'histoire est quelque peu différente.. similaire en certain points, enfin...

Lorsque son père et son amant avaient disparu, un grand vide s'était installé en la personne de Valh qui avait senti une partie de son être mourir en même temps qu'eux. Vous l'aurez compris, leur absence la plongea alors dans la solitude quelque peu destructrice. Jonglant entre haine, désire de vengeance, dépression et l'envie de mettre fin à ses jours.. elle tentait vainement de lutter. Principalement en réfléchissant à des moyens de se venger de la Folle aux cheveux de braise ainsi que du Faucheur spectral, en cherchant des informations à leur sujet. Mais à force de réfléchir, la solitude et la dépression revenaient et c'est ainsi qu'elle allait se divertir par ses fameuses occupations quotidiennes.

Le goût du risque lors d'épreuves sordides ou d'affrontements pour se faire respecter s'était accentué lors de la disparation de son père, là encore elle avait Weynn pour la raisonner, mais lorsque lui aussi disparut.. cela s'accentua de manière considérable au dépit de sa joie de vivre qui semblait avoir totalement disparu, offrant à ses activités le statut d'occupations quotidiennes. C'est en l'observant faire que l'on pouvait constater que ces mêmes activités pouvant être par moments qualifié de suicidaire, restons alors à dangereuses, occupaient son esprit à un point tel qu'elle se sentait transportée dans une autre réalité, lui faisant ainsi oublié temporairement la solitude dans laquelle les deux individus l'avaient plongé, par l'adrénaline de ses moments qui arrivaient à lui soutirer un sourire quelque peu.. dément. Bien que dangereuse, les sensations fortes et les douleurs de ses instants étaient devenu ses nouveaux compagnons et ironiquement, cette forme d'auto-destruction lui permettait de rallonger sa vie en l'empêchant d'y mettre un terme d'elle-même.

Les affrontements presque constants par le passé et encore de nos jours, lui avait fait gagné une certaine assurance qui au fur et à mesure des duels et autres épreuves n'était plus qu'une simplement image, mais bien une façon d'être. Lors de ses affrontements, cette estime qu'elle se portait pouvait la rendre quelque peu fier de ses compétences et la folie qui pouvait l'affecter, accentuait ce côté-là en la rendant hautaine voir arrogante et prétentieuse, de quoi alors s'attirer la colère de ses adversaires en les rabaissant. La démence due à la haine et la dépression, faisait ressortir ce qu'il y avait de pire en elle, lui faisant oublier ses principes et la notion de respect en certaines situations.

Combien de temps cela pourrait-il durer ? Cela devrait alors varier en fonction du temps écoulé, mais surtout en fonctions de ses rencontres. Gravement atteinte par la douleur de la perte de ses proches, ce qui pouvait la conduire à une certaine forme de folie ''passagère.'' En public, elle intériorise toutes ses envies de haine et de vengeance, jusqu'à ne plus le pouvoir, paraissant alors calme. Bien trop calme si ce n'est distante, effacée et songeuse. Dans ces conditions, elle pourrait très bien faire partie d'une conversation des plus normal ou étrange (on ne sait jamais avec les êtres de Runeterra). Valh n'est pas un monstre loin de là. Et ses ''folies'' ne sont pour l'instant, que temporaire. Elle reste une femme qui a connu la perte des seules personnes qui lui étaient chères à son cœur et donc, ses troubles pourraient sembler légitimes. La pousser à la discussion, lui permettrait peut-être de retrouver peu à peu une vie saine ainsi que de lui permettre d'arriver à s'ouvrir de nouveau au monde. Mais en attendant, si vous souhaitez lui soutirer un sourire en dehors de la folie, je vous souhaite bien du courage.
La vie à Bilgewater n'était pas des plus faciles, surtout de nos jours. Autant, auparavant, au temps d'un certain homme, le danger était moins présent. Seuls les traîtrises, les quelques bandits et les voyages en mer pouvaient conduire à la mort. Mais depuis que la folle aux cheveux de braise a fait couler le gros lot, l'optique de vouloir s'aventurer hors de chez soit pouvait vous assurer un pied dans votre propre tombe. Malheureux n'est-ce pas ? Et dire qu'à cause d'elle beaucoup avaient perdu une, voir plusieurs personnes lui étant cher.

Mes derniers souvenirs remontent à mes cinq ans et à cet âge, l'odeur des quais traversait déjà mes narines et le dit gros lot plus haut, était encore au sommet. Trouvant de quoi se loger et un métier dans l'alcool, mon père pris soin de moi, du moins comme il le pouvait, qu'il soit sobre ou non. Très vite, j'ai dû apprendre à me débrouiller seule et à remplacer ma mère si je voulais que mon père et moi tenions la route encore un moment. Ce n'était pas toujours évident pour une jeune enfant, mais je devais faire avec. J'avais aussi appris que ces lieux regorgeait d'étrangers et je fus rapidement surprise de voir qu'au vu du léger accent que l'on me relevait, merci papa, que j'étais comme la plupart d'entre eux. C'est-à-dire: native d'ailleurs. Ce qui m'étonna par le fait que je n'avais aucun souvenir d'une autre terre que celle-ci, mais cela pouvait expliquer que l'accent de mon père tranchait bien sur celui d'ici, contrairement au miens qui était moins marqué, au point que je ne l'avait jamais vraiment remarqué.

À plusieurs reprises j'ai aussi dû me faire à la sournoiserie, l'agilité, la furtivité, mais aussi à la bagarre. Cela me rappelle que l'une d'entre elle m'avait conduit à la rencontre de l'être que j'allais aimer. Un dénommé Weynn. Bref.. démontrer sa force pour conserver ses dû était souvent la moindre des choses à faire pour s'offrir une vie légèrement plus confortable que les autres. Non, c'était simplement pour pouvoir ramener de quoi manger le soir. Mais les poings ne faisaient pas tout, surtout face à une arme à feu, même la magie, pour peu que je m'étais surprise à découvrir celle que je possédais. Elle ne servait pas à grand-chose, surtout quand on a une faible maîtrise de cette dernière. Par ailleurs, son apparition en gelant le poignet de l'un de mes assaillant de l'époque m'avait fortement surprise.

Enfin, cela paraît beau et prometteur, mais il ne fallait pas se leurrer, des raclées j'en ai prise et pas des plus tendres. Combien en ai-je essuyé exactement ? Je ne saurais pas le dire, mais au moins un certain nombre pour m'endurcir et m'affirmer, mais pas assez pour passer l'arme à gauche. Plus très féminine dans ses cas.. mais il reste bien d'autres points si je voulais utiliser mes charmes. Quoi que j'avais encore un moment devant moi pour jouer de ses futurs atouts. Par ailleurs, si ma mémoire est bonne, c'est à la suite de l'une d'entre elle qui fut assez violente, que j'avais enfin attiré l'attention de mon père afin de discuter de certaines choses.

Les habits en grande partie déchirées, laissaient voir en haut de ma hanche gauche, le bout d'une peinture bleue. Cela n'était pas la première fois que je la voyais, à croire qu'elle y était depuis ma naissance. Je me posais toujours cette question à son sujet : d'où venait-elle ? C'est donc à la suite de cette raclée et d'une belle engueulade de mon père, qu'il me révéla que nous étions natifs de Freljord, d'où ce léger accent. Banni d'un groupe bien précis dont le nom m'échappe, ma mère connue une fin tragique lors de notre voyage et repose sur ces terres enneigées. Suite à toutes ces explications, il m'offrit un collier dont le pendentif avait exactement la même forme que la marque sur ma peau. Cette chaîne d'argent était toujours attaché au cou de ma mère de son vivant.

Ce seul objet devenant le souvenir de celle qui m'avait mise au monde, je le conservais avec moi ou non loin, dans un abri dans lequel personne penserait à chercher un trésor et poursuivais ma vie aussi simplement qu'avant, avec des réponses, mais aussi de nouvelles questions, comme : pourquoi étions-nous banni ? Enfin, l'existence en Bilgewater ne laissant pas toujours le répits qu'il faut pour la réflexion. J'avais dû oublier ces questions temporairement pour me concentrer sur mon travail. Mon père étant dans l'alcool sous le sigle du Fléau des mers, par ailleurs, il en vantait une certaine prestance. Un homme dur, mais respectable, me disait-il. Quant à moi, j'avais fini à la fabrication d'arme sous la tutelle d'un particulier. Cela ne m'enchantait pas toujours, surtout lorsqu'il s'agissait d'arme à feu, j'ai toujours eu une préférence pour les lames bien tranchantes, mais il fallait bien trouver de quoi pouvoir s'acheter des vivres.

Quelques jours après, j'avais donné rendez-vous à Weynn, sur l'un des toits d'une des habitations à égal distance de nos domiciles respectifs, lorsque le soleil disparaîtrait derrière l'eau. Discutant de mes origines, nous en sommes venu à nous rapprocher et discuter de bien des choses, réitérant ce genre de rendez-vous encore et encore. Le temps que l'évolution de cette relation se fasse, un carnage eut lieu, détruisant en un certain sens Bilgewater ainsi que ma propre existence et celle de bien d'autres.

La cinglée aux cheveux de feu.. oui, il est vrai que beaucoup la respecte et que je devrais faire de même, mais cela m'est impossible. Lorsqu'elle coula le Fléau des mers ainsi que son navire, elle fit en sorte d'effacer ceux qui le servaient.. parmi eux : mon père. Travaillant sous son enseigne, on ne lui avait laissé aucune possibilité de s'exprimer.. il faisait ça uniquement pour nous permettre de vivre et elle.. elle avait simplement ordonné son exécution.. il n'était peut-être pas le meilleur des pères, mais c'est celui que j'avais. Le seul.. il ne me restait maintenant plus qu'une seule personne avant que la rage et le chagrin ne me plonge dans la dépression et la folie. Cela ne durerait pas..

Les temps étaient bien plus durs maintenant et nous n'étions plus à l'abri de rien même dans ce qui nous servait maison. Ce jour-ci, j'étais avec Weynn, nous ''fêtions'' l'année de notre déclaration. Pour marquer le moment, il m'avait offert une lame faite et trempée dans la glace la plus pure et froide de Freljord, du moins, comme il l'avait dit : ''Si le marchand avait autant de cran que de bagou.'' Enfin, sur cette touche d'humour, cela aurait tournée à l'acte, je ne vais pas le cacher, enfin.. si nous n'avions pas oublié ce détail important..

Un détail que la révolte semblait avoir attiré la faisant s'abattre sur nous bien plutôt que prévu.

La nuit de l'horreur.

C'était en cherchant à rejoindre la plus haute partie de Bilgewater que j'avais assisté à son dernier souffle. Sentant sa main abandonner la mienne, accompagné d'un bruit d'os brisé, que je m'étais retournée et vit le crochet qui le transperçait ressortir de son thorax. C'est à ce moment-là que j'avais senti mon cœur se déchirer. Alors qu'il me suppliait de partir dans ses dernières secondes de vie, que j'avais aperçu ce spectre au loin, ramenant ce qui était maintenant sa proie. Sa veste sombre au-dessus de laquelle flottait un crane au rictus malsain, des flammes vertes le faisaient ressortir de cet accoutrement sombre, tandis que sa lanterne aux lueurs glauques, s'ouvrait, semblant soutirer la vie de celui que j'aimais..

Bien qu'étant sous le choque de ce qu'il venait de se produire et de la perte de mon partenaire.. Weynn ne voudrait sûrement pas que je finisse ainsi aussi.. et c'est avec cette idée en tête que j'avais laissé cette créature avec lui, profitant des secondes qu'il m'offrait pour mettre de la distance entre cette chose et moi. Parcourant ces rues depuis que je suis gamine, j'en connaissais les moindres recoins afin d'accéder au plus vite à ma destination. Le chemin était certes court, mais remplis d'embûche. Néanmoins, si je l'avais choisi c'est qu'il restait le moins long même avec ses ralentissements.

Enfin.. je n'avais pas pris en compte les sbires de la créature. Des esprits traversant toutes matières semblaient m'avoir vu et voulaient s'amuser un peu. Elles n'étaient encore que peu nombreuses, mais assez rapide pour me rattraper et me faire goûter à leurs griffes qui offraient une brûlure intense et presque glaçante. C'était inexplicable.. cette sensation.. je m'en souviendrais toute ma vie pour peu qu'elle puisse continuer. Leurs griffes drainaient peu à peu l'énergie vital.

À force d'acharnement de leur part, j'avais pris la lame qui me fut offerte plutôt, apparemment trempée dans le froid le plus pur de Freljord... si ce n'était pas le cas, pourquoi ne pas combiner ma magie à cette arme ? Est-ce que cela avait un effet sur les spectres ? Il était à croire que oui.. Était-ce là dû au don de la lame ou de mes propres compétences ? Je n'en savais rien et n'avait pas le temps de chercher à comprendre. Maintenant débarrassée de ces créatures de façon temporairement, je poursuivais ma route sans regarder derrière moi. Je devais au moins atteindre les hauteurs du temple pour peu qu'ils m'acceptent et j'assurerai ma vie. Du moins, je l'espérais.

C'est bien avant le pont que je fus coupé par l'apparition d'une flamme dansante bien au-dessus du sol, ou plutôt appelé feu follet. Sans pouvoir comprendre ce qu'il m'arrivait, des visions venaient à mon esprit, vraies ou fausses, je ne pouvais le dire. J'avais l'impression de plonger dans un froid obscure.. d'être arrachée à moi-même.. seule et isolée.. avant de finir par voir un voile blanc et d'entendre la voix d'une femme qui m'avait sorti de cette prison. J'ignore combien de temps cela avait duré et ce qu'il s'était passé pour que j'en sorte.. mais une chose était sûre, j'étais en vie.

C'était là, la seule et unique fois où j'avais vu ce spectre à la lanterne verdoyante.

Cet événement passé, j'avais appris qu'une forte lumière avait jaillit du temple, faisant fuir la brume et ses spectres, était-ce donc ça le voile blanc ? À supposer que la voix était ma mère voulant me réveiller ou une prophétesse du temple. Quoi qu'il en soit, c'était cela qui avait dû me sauver. Maintenant, je poursuivais ma vie seule, à vrai dire, je n'en avais pas vraiment le choix. J'avais perdu en moins d'une année les deux personnes qui me donnait une raison de me lever le matin. Comme dit pour mon père, bien qu'il ne fut pas la plus grande des deux perte, il reste tout de même celui qui a veillé sur moi pendant tout ce temps et je me devais de lui rendre hommage... en renversant celle qui l'avait tué. Du moins, c'est ainsi que je le pensais et je le pense encore.

Quant à Weynn.. le voir partir ainsi m'enrage encore, pour suivre par une dépression. Il fut le seul qui m'avait soutenu à chaque fois et je le lui rendais avec le plus grand des plaisirs. N'étant pas du genre à me faire de nombreuses relations.. il était celui qui avait fini par avoir mon cœur. Et voilà que ce spectre me l'a pris.. j'ignore comment tuer ce genre de créature, mais je suis bien décidée à m'occuper de son cas, ou alors, je rejoindre mon partenaire par la mort qu'il m'offrira.

Pour mes origines ? Cela est le dernier point sur ma liste. Si je suis encore là, je me rendrais sûrement en Freljord afin d'en savoir plus. Enfin là, je ne suis même pas sûr de pouvoir accomplir mon premier objectif et encore moins le second.. même avec des années de préparations.. j'en ai de forts doutes. Le manque de dirigeant dans cette ''cité'' avait drastiquement augmenté le taux de mortalité à cause des disputes pour le pouvoir. Plongeant Bilgewater dans une sorte de chaos au point où : sortir de chez soit ou y rester ne protégeait plus de rien.

Tout porte à croire que seule, je n'y arriverai pas. J'aurais sûrement besoin d'aide et devrait alors me refaire à la vie sociale.. prendre sur moi, communiquer, chercher de quoi trouver des informations, des solutions. Oublier ma haine et ma dépression le temps de côtoyer les autres.. cela serait compliqué, mais je n'ai pas le choix si je veux avoir une chance de survivre et de me rapprocher de mes objectifs. Cela pourrait même m'aider à sortir de cette situation.. je n'y crois pas vraiment..

...

Je me demande encore comment je fais pour pouvoir me lever chaque matin dans ce bas monde.
Valh
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Gangplank
Bilgewater - your king has returned
Gangplank
Gangplank
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Dim 12 Aoû - 17:05
Yaaaaahaaaar moussaillon!

Bienvenue à bord Valh, c'est à moi qu'il incombe de commenter ta fiche. N'ai crainte, je ne suis peut-être pas tendre, mais je ne suis pas injuste non plus!

Commençons!

- Tout d'abord, tu as fais chavirer le cœur de Sona avec ton style d'écriture très oralisé ^^ C'est assez original ceci-dit, ça change de la simple description à la première personne avec un léger détachement par rapport au personnage. Ici, tu ponctue tes descriptions avec des petites apartés personnelles comme "Bon.. n'allons pas faire que de la mauvaise pub à Bilgewater" (Mais Bilge joui d'une très bonne réputation! Si on omet qui la dirige actuellement... Ça et les incursions annuelles de morts-vivants... Passons!). En tout cas, ça ajoute un petit cachet à ta fiche.

- "Sa poitrine n'étant pas très généreuse, lui permettait de se mouvoir à ses aises. N'étant pas inexistante, elle avait de quoi prouver qu'elle était une femme et possiblement capable de faire plaisir à un homme, mais là n'était pas la question.": une précision qui nous as fait rire ^^ (surtout Varus). Ça me rappel qu'une autre personne utilisait ses atouts pour parvenir à ses fins... Mmmmh... Je vais devoir me méfier.

- Il y a une petite erreur de concordance de temps à partir du moment où tu fais la description du tricorne, cela perturbe un peu la lecture de ta fiche. Personnellement, je te dirais de rester sur de l'imparfait, mais c'est juste le fait de changer en cours de route qui pose un réel problème.

- On va aborder un point important et qui peut faire débat: la "folie" de Valh. Elle est perturbée, profondément blessée, jusqu'à avoir des envies de meurtre et de suicide, certes... Cependant, ça ne justifie pas un réel état de folie, plutôt une sorte de névrose. Même le fait qu'elle puisse sourire de manière démente quand elle se bat n'est pas le signe d'une folie, mais pourrait s'apparenter à l'ivresse du combat. Valh est très dépressive et on éprouve beaucoup de compassion à son égard... On ne la ressent pas folle, car si c'était vraiment le cas, la possibilité même de RP avec elle n'aurait pas lieu d'être...

- Autre point débat: l'accent de Valh. Est-il possible de s'imprégner l'accent freljordien depuis tout petit? Même en imaginant que son père avec un fort accent, elle vivait à Bilgewater (lieu très cosmopolite au passage) depuis avant ses 5 ans... Elle a surement autant été marqué par la langue des locaux que celle de son père. Cependant, c'est un détail qui peut-être négligé, car il n'impacte pas vraiment la cohérence de ton personnage ^^

- "C'est avant le pont que je fus coupé par l'apparition d'une flamme dansante bien au-dessus du sol, ou plutôt appelé feu follet. Sans pouvoir comprendre ce qu'il m'arrivait, des visions venaient à mon esprit, vraies ou fausses, je ne pouvais le dire. J'avais l'impression de plonger dans un froid obscure.. d'être arrachée à moi-même.. seule et isolée.. avant de finir par voir un voile blanc et d'entendre la voix d'une femme qui m'avait sorti de cette prison. J'ignore combien de temps cela avait duré et ce qu'il s'était passé pour que j'en sorte.. mais une chose était sûre, j'étais en vie.": j'aimerais que tu nous éclaire sur ce passage... Est-ce un flash-back? Une hallucination dût à la fatigue, au stress et à la perte de Weynn? Ça nous intéresse de connaître ton interprétation.

Voilà! C'est tout ce que j'avais comme remarque sur ta fiche. Alors non, pas vraiment, puisque je n'ai pas souligné le fait que la partie physique et caractère était très bien écrite et développée et que l'histoire de Valh est vraiment captivante (et d'autant plus intéressante par le fait qu'elle n'implique pas le repompage d'un autre perso... *tousse tousse*).

En tout cas, j'attend avec impatiente ta réponse et espère voir cette âme faire parler le sabre (et pourquoi pas en ma compagnie, puisqu'il semble que nous poursuivons tous les deux la même folle au cheveux de feu... mh?).

A bientôt sur les quais à abattoirs!
Gangplank
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Valh
Valh
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Dim 12 Aoû - 20:25
Tiens.. en voilà un qui aurait bien aimé que je le rencontre, ou non. Enfin peut importe. Bien le bonjour. *S'incline légèrement en guise de respect puis sort un carnet afin de noter le tout et de pouvoir y répondre.*

-Pour le Tricorne, je vais aller voir cela.

-Aurais-je mal précisé ? *S'en doutait légèrement* La folie ne serait qu'un état passager qui surviendrait de temps à autre que ce soit par l'adrénaline en combat, une dépression devenant trop forte sur le coup ou une envie de massacre.. enfin rien de bien permanent une fois un affrontement et/ou une discussion quelque peut ''violente''' de fait, ou même ne serait-ce que le fait d'essayer de le contenir de soit-même ce qu'elle ne pourra pas toujours faire d'elle-même. Faits que je n'ai pas dû précisé, car si justement cette folie serait permanente, elle ne serait pas en état de réfléchir, ni en état de rester dans une foule, ni même en état de parler avec d'autres. Chose qu'elle se doit de faire pour espérer arriver à ses objectifs et elle le sait :
Citation :
" J'aurais sûrement besoin d'aide et devrais alors me refaire à la vie sociale.. prendre sur moi, communiquer, chercher de quoi trouver des informations, des solutions, des alliés. Oublier ma haine et ma dépression le temps de côtoyer les autres.. cela serait compliqué, mais je n'ai pas le choix.."
*Pensait finalement que le soutient du dernier paragraphe du caractère aurait suffit à faire comprendre cela.*
Citation :
"En public, elle intériorise toutes ses envies de haine et de vengeance, jusqu'à ne plus le pouvoir, paraissant alors calme. Bien trop calme si ce n'est distante, effacée et songeuse. Dans ces conditions, elle pourrait très bien faire partie d'une conversation des plus normal ou étrange (on ne sait jamais avec les êtres de Runeterra)."
J'ai dû mal l'exprimer, je rajouterai donc une ligne à ce sujet.

-L'accent.. l'accent.. l'accent.. Moins le prononcer et rajouter que l'on parle de son père à ce niveau-là, noté.

-S'il n'y a pas plus de précision c'est bien entendu parce que cela est resté vague pour Valh. En revanche pour ceux qui auraient lu « Ombre et fortune » les feux follets ont offert des hallucinations à ceux qui les ont vu, les plongeants et les perdants dans la brume. Quant à la lumière et à la voix, je voulais l'interpréter comme l'intervention d'Illaoi lors de l'assaut dans la même histoire qui à fait fuir la brume, sauvant Valh avant qu'elle ne succombe vraiment à la brume. Mais là, comme dans l'histoire, le narrateur est Valh qui ne sait rien de ce qu'il c'est passé à ce moment.. comment l'interpréter ?

Enfin, je vais voir tout cela et signalerai lorsque les points seront réglés !

Citation :
''et d'autant plus intéressante par le fait qu'elle n'implique pas le repompage d'un autre perso... *tousse tousse*.''
Mhmm.. comment dois-je le prendre ? Enfin, peu importe, merci bien, je m'en vais de ce pas régler tout cela.

Voilà, la réponse donnée, va falloir attendre mes changements et la validation pour pouvoir faire parler de ce fameux sabre.

- - -

Un édite pour éviter de spam, les modifications sont apportées, j'attends donc de savoir si cela vous conviens.
Valh
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Gangplank
Bilgewater - your king has returned
Gangplank
Gangplank
Bilgewater - your king has returned
Lun 13 Aoû - 15:19
Ahooooy!!!

Alors, après une analyse approfondie des modifications apportées à ta fiche... J'ai l'honneur de t'annoncer que tu fais officiellement parti de l'équipage! YAAAAAAAR!!!

Bien entendu, il ne faudra pas oublier la fiche suivie, voter toutes les deux heures, éplucher quelques patates... Bref! Des fioritures sans importances (c'est faux).

Encore une fois, bienvenue et j'espère croiser le fer à tes côtés!
Gangplank
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Valh
Valh
Valh
Lun 13 Aoû - 16:43
L'honneur ? Mhm.. et bien je vous en remercie. *S'incline de nouveau pour faire preuve de respect, oui c'est une habitude.*

La fiche de suivie, bien. Voter.. va falloir que j'y pense. Éplucher les patates ? Je préférerai éplucher la chair. Le reste, je le ferais faire aux autres. *Préfère se réserver pour les affrontements.*

Merci encore et je ne l'espère pas, car je pense cela inéluctable, surtout pour espérer détrôner une cible que nous avons en commun.
Valh
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