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Tahm Kench, le roi des rivières [Terminé]

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Lun 14 Aoû - 14:36
« Call me king, call me demon - water forgets the names of the drowned.»

 
« CARTE D'IDENTITÉ »
♦♦ NOM :: Tahm Kench
♦♦ TITRE/SURNOM :: Vous pouvez m'appeller "Le Roi des rivières".
♦♦ LIEU DE NAISSANCE :: Petits curieux...
♦♦ RÉSIDENCE :: Pour l'instant, j'apprécie les marais de Bilgewater, mais le monde restera mon domaine.
♦♦ OCCUPATION :: Venir en aide aux êtres en détresse bien entendu, mais pas gratuitement. Ne vous en faites pas, il y a toujours un moyen de s'arranger.
♦♦ FACTION :: Aucune.
« DERRIÈRE L'ORDI »
♦♦ PRENOM :: Alex
♦♦ PSEUDO :: //
♦♦ AGE :: 25 ans
♦♦ COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? :: La magie des Top-sites
♦♦ DES COMMENTAIRES ? :: Nop.
♦♦ PRÉSENCE ? :: Majoritairement les week-ends pour le moment et quelques fois en semaine.






Vous êtes décidément très curieux, vous savez ? Je me verrais cependant mal vous refuser cette petite conversation, en somme tout innocente. Nous sommes entre gentlemen après tout.

La politesse est une chose à laquelle je tiens particulièrement. Mon apparence que certains d'entre vous qualifierais de "monstrueuse", ne m'empêche en aucun cas de faire preuve de savoir-vivre et de respect. Quand j'en viens à observer comment vous vous comporter les uns envers les autres, parfois, je me demande lequel d'entre nous est le plus civilisé. Malgré tout, il serait exagéré de me draper d'une aura de gentilhomme blanc comme neige. Je ferai mon possible pour maintenir une bonne relation avec les mortels qui croiseraient mon chemin, mais je ne me fatiguerais pas si ces derniers préfèrent me traiter comme un vulgaire batracien. Nul besoin de violence pour blesser quelqu'un, un mot bien choisit peut être aussi tranchant qu'une épée.

Un point que je me sens obligé d'aborder, est le fait que je suis incapable d'ignorer une personne en détresse. Il faudrait avoir un coeur de pierre pour abandonner quelqu'un face à ses problèmes, or ce n'est pas mon cas. Mes talents me permettent d'aider de bien des manières, alors autant les mettre en pratique. Il n'est pas facile en revanche pour moi d'approcher quelqu'un dans une zone peuplée sans créer un mouvement de panique à cause de mon apparence. Ainsi, je préfère les attirer vers moi grâce à ma voix. Mon chant est comparable à celui des sirènes, la différence étant que le mien ne conduit pas à votre fin, bien au contraire. Je ne fais qu'apporter des solutions. Par contre, je suis bien forcé d'admettre que mes propositions ne sont pas gratuites. Il n'est pas toujours facile de trouver de la nourriture dans le marais où je réside et les quelques amuse-bouche que je parviens à trouver ne suffisent nullement à satisfaire mon appétit. Ainsi je conclus toujours un marché avec les personnes auxquelles je rends service, celui de m'accorder une place à table pour le jour où ma faim ne pourra plus se contenter de maigres poissons. Un marché qu'ils acceptent tous. Après tout, vu ce que je propose d'accomplir pour eux, qu'est-ce qu'un simple repas ?

Comme vous le voyez, je suis une personne pétrie de bonnes intentions... Hmm ? Vous n'êtes pas convaincu ? Eh... hehe...AHAHAHA ! Vous êtes moins naïfs que les autres mortels ! J'aime ça. Très bien, on va jouer franc-jeu.

Si j'aide les mortels, c'est uniquement par intérêt personnel. Je me moque éperdument de leurs problèmes, une ville entière pourrait être menacée de disparaitre que je me contenterais d'applaudir le spectacle, non sans avoir d'abord conclut un marcher ou deux avec les fuyards. Si je les aide, c'est effectivement pour obtenir un repas, sauf que je ne me nourris pas de vos victuailles. Ce que je veux, c'est votre douleur. Votre peine, la détresse qui envahit vos entrailles, la peur qui vous ronge, le chagrin qui vous accable. Toutes ces émotions qui ravissent mes papilles et comblent mon appétit. Cependant, je ne peux accéder à votre coeur que si vous me l'autoriser... en acceptant mes marchés. Un accord conclut m'ouvre les portes vers vos émotions et alors, je n'ai plus qu'à attendre le bon moment pour ruiner vos existences. Certains hésitent à accepter les termes de mes marchés, mais ils finissent tous par céder. Le coeur des mortels est remplis de faiblesses et je sais comment les exploiter. Vous cédez tous, un jour ou l'autre. C'est inévitable.
Aaah, les frivolités de la forme. Je vous plains vous savez ? Vous qui êtes condamné à conserver la même apparence jusqu'à la fin de vos jours. La mienne, au même titre que mon nom, à varier au fil des âges. Mais bon, nous ne sommes pas là pour parler de mes anciennes apparences, mais de l'actuelle.

J'ai une stature plutôt imposante, aussi bien en hauteur qu'en largeur. Dire que je suis une personnification de la démesure ne serait pas loin de la vérité. Ma peau lisse d'apparence, est en faite constituée d'une myriade d'écailles vertes pâles particulièrement solides, qui tournent vers le gris sur certaines parties de mon corps. Par ailleurs, le sommet de mon crâne est lui d'un vert bien plus foncé, un changement de couleur qui s'étend par la suite tout le long de mon dos. Parlons-en d'ailleurs de mon crâne, ce dernier étant dans des proportions peu communes. Je ne plaisantais pas en disant que j'étais une représentation de la démesure. La première chose que vos yeux risquent de remarquer, c'est ma bouche s'étendant sur toute la largeur de ma tête, la marquant ainsi d'un très grand sourire. Un sourire qui ne manquera pas de vous laisser la possibilité d'admirer mes crocs aiguisés. Juste au-dessus de ma bouche se trouve ma chère moustache, faites de deux longs tentacules s'étendant de chaque côté et ondulant souplement dans les airs. Je me suis d'ailleurs permis de placer un épais anneau de bronze vers la base de celle de gauche. Un peu plus haut, vous pourrez admirer mon regard. Deux petits yeux d'un jaune ambré, dépourvu de pupille, mais qui n'en demeure pas moins perçant.

Sur le plan vestimentaire, je porte une chemise rouge carmin dépourvue de manches qui, je suis bien forcé de le reconnaître, a quelques difficultés à entièrement dissimuler mon ventre de bon vivant. Je revêts également un long manteau marron duquel les manches ont été arrachées. Mon manteau n'est malheureusement plus en aussi bon état qu'auparavant, de multiples déchirures ayant fait leurs apparitions sur le col ainsi qu'aux autres extrémités. La seule déchirure présente, car je le désirais est celle située en bas, au centre et remontant sur une quinzaine de centimètres. Ceci afin que ma queue puisse se mouvoir sans la moindre gêne. Avec tout ceci je porte également des brassards en cuir recouvrant l'ensemble de mes avant bras, un peu de protection ne peu jamais faire de mal, même si je dois reconnaître qu'ils sont surtout présents pour une question de style. J'ai également apposé une épaisse bague de bronze à l'un des doigts griffues de ma main gauche.
Oh ! Comment ai-je pu oublier de parler de lui. De ce cher chapeau haut de forme que je porte fièrement en toutes circonstances. J'y suis très attaché vous savez ? Des modèles aussi beaux, on en fait plus autant de nos jours. Un sublime chapeau noir de jais avec un ruban rouge s'enroulant autour de sa base et dans lequel vient se loger une superbe broche en or symbolisant un harpon. Aaah, que j'aime ce chapeau.
Plic. Ploc. Une douce bruine commence à tomber sur mon précieux marais, ses petites percussions habillant la musique monotone que j'ai eu tant de fois l'occasion d'écouter. Le croassement des grenouilles se fait plus fort, quelques poissons commencent à se montrer tandis que moi, je reste allongé au bord de l'eau, à observer la vie qui y grouille. La vie était d'ailleurs bien calme depuis que je m'étais libéré des chaînes de la ligue. Il m'arrive encore de repenser à ces idiots. Ces invocateurs imbu d'eux-mêmes qui pensaient pouvoir me maintenir sous contrôle en faisant de moi un champion de la faille. S'il y a bien une chose qui n'a pas changé au fil des siècles, c'est bien la bêtise des mortels. Au final, ils m'auront tenu en laisse pendant une année ou deux, mais désormais, c'est tout leur précieux monde qui souffre de leur arrogance. Je ne vais pas m'en plaindre, ces imbéciles m'ont offert un buffet encore plus grand qu'auparavant. Voilà ce qu'il se passe quand on veut agrémenter son zoo d'espèces trop durs à maîtriser. À la fin, les cages finissent par ne plus pouvoir tenir... et les charognards n'ont plus qu'à se servir.

En parlant du monde, je devrais peut-être en faire le tour une nouvelle fois. La situation est tout à mon avantage, les conflits commencent à fleurir et avec eux viennent les victimes. Des personnes que je peux secourir, à qui je peux offrir un refuge quelque part loin de leurs malheurs avant de venir réclamer mon dû. Oooh oui, une petite exploration s'impose. Je suis soudainement stoppé dans le fil de mes pensées, mes beaux projets se retrouvant balayés. Ce n'est pas un souvenir et encore moins une menace que je sentirais approcher qui me perturbe, non... c'est un bruit, résonnant au plus profond de mes entrailles. Un battement de cœur, puissant, lointain. Il m'appelle. Hehehe, mon repas m'appelle. Je me lève tranquillement, prenant le temps d'ôter les impuretés qui se sont installées sur mon manteau tandis que je rêvassais. J'ai beau l'aimer, ce marais est quelque peu salissant.

Mon regard se porte vers les eaux du marais qui se mettent aussitôt à se mouvoir, à bouillir, tandis que je pouvais observer le reflet se transformer. Je ne voyais plus ma superbe doublure, mais une maison de Bilgewater. Là où un délicieux repas m'attendait patiemment. Sans plus attendre, je me jette dans les eaux mouvementées du marais, pour ressurgir quelques instants plus tard d'une flaque d'eau juste en face de la demeure. Si ma mémoire ne me fait pas défaut, c'est un dénommé Gabran qui vit ici, en compagnie de sa femme. Je me souviens bien de cet homme, notre rencontre doit remonter à environ dix ans. Le bougre avait eu la brillante idée d'emprunter de l'argent aux mauvaises personnes. Résultat : ils l'ont fait chanter, on exploiter ses dettes et comme il ne parvenait pas à s'en sortir, ils en sont venus à kidnapper sa femme - Mina, je crois... - pour obtenir un remboursement plus conséquent. Le schéma classique en somme.

L'échange devait avoir lieu dans mon précieux marais et par chance - ou plus exactement, par un positionnement habile - Gabran croisa mon chemin. Le marché fut tout trouvé, je délivrais sa femme tout en le débarrassant de ses créanciers et il m'acceptait à table un jour ou l'autre. Rien de bien compliquer pour moi, je m'étais donc acquitté de ma part du marché sans le moindre problème. Mais désormais les années ont passé, la faim m'appelle et il est temps pour ce cher Gabran de payer sa part du marché. Je retire délicatement mon chapeau, avant de caresser le haut de mon crâne, comme pour remettre en place une chevelure imaginaire, avant que mon chapeau ne reprenne sa place qui lui revient de droit. J'ajuste par la suite le col de ma chemise avant de m'avancer sur le pas de ma porte et de toquer. Il faut quand même que je sois présentable, je suis invité.

C'est justement Gabran qui m'ouvre la porte. Sans grande surprise, il a un mouvement de recul en m'apercevant, son regard trahit sans mal la peur qui l'envahit. J'ai l'habitude d'instiller cet effet à mon entourage. La peur ne tarde pas à céder la place au soulagement lorsqu'il me reconnait. Après tout, j'ai sauvé sa femme et accessoirement sa vie alors pourquoi s'inquiéter ? Comprenant sans mal la raison de ma venue, il m'invite à rentrer tout en appelant sa femme ainsi que sa petite fille. Ce cher Gabran n'a pas perdu de temps. Le reste de la famille vient donc à ma rencontre, nerveuse au départ, Mina ne tarde pas à me reconnaître avant d'expliquer à sa fille qui je suis. La petite a l'air d'avoir à peu près huit ans. Je jette un regard à Gabran qui se tiens encore à côté de moi, avant de lui adresser la parole.

"Merci pour ce charmant accueil Gabran. Ta maison est vraiment charmante et je tiens à féliciter tes talents d'hôtes. Tu ignorais ma venue et pourtant... tu as déjà servi le repas."

Plic. Ploc. Quelques goûtes de salive perlent de ma langue tandis qu'elle vient frapper d'un coup sec la nuque de l'homme. Il s'écroule lourdement, immobile, mais parfaitement conscient. Ma salive fait déjà effet, le bougre n'est pas prêt de pouvoir bouger, tout ce qu'il pourra faire... c'est admirer comment je fais honneur à ce repas qu'il a mis tant de temps à préparer. Dix ans de cuissons, ça se savoure. Mina, d'abord paralysée par la surprise, s'enfuit dans la pièce d'à côté en prenant sa fille avec elle. Je ne m'affole pas et les suis calmement dans ce qui semble être la salle à manger. Parfait, ce serait mal poli de manger ailleurs qu'à table. Lorsque j'ai de nouveau cette chère Mina en vue, cette dernière tente d'ouvrir une porte donnant sur une quelconque pièce. Ma langue ne tarde pas à fendre les airs, frappant la femme de la même façon que son époux. Leur petite progéniture, en larme, tente en vain de relever sa mère avant de me regarder, paniquée. Non ma petite, ta mère n'est pas prête de se lever. Je m'avance lentement, affichant mon fidèle sourire. J'ai faim. Tellement faim.

Je suis enfin à côté de Mina. Sa fille ne tarde pas à s'enfuir en courant dans la pièce où se trouve son père, sûrement dans l'espoir de réussir à le faire bouger, pour venir secourir sa chère maman. Les mortels et leurs espoirs. Je saisis Mina, ma main griffue entourant aisément sa taille et je la soulève. Je l'observe avec avidité tout en me léchant les babines et enfin, je lui assène un puissant coup de mâchoire, lui arrachant un cri strident qui résonne sans peine dans la bâtisse, avant que tout son corps ne soit broyé et consumé. Hmmm je le sens enfin. Cette douleur poignante, cette détresse qui envahit son cœur et qui me nourrit. Cette souffrance est tout simplement délicieuse. Mais je n'en ai pas encore terminé avec toi Gabran, il me reste mon dessert. Je retourne donc dans le couloir de l'entrée, la petite fille se tien devant son père, tous deux en larmes. Elle le secoue, le supplie de se lever, juste avant que ma langue ne s'enroule autour d'elle et ne l'attire dans ma gueule. Gabran me fixe alors qu'il entend les cris de détresse de sa fille toujours en vie, prisonnière de ma bouche... avant qu'un puissant craquement ne se fasse entendre, instaurant par la suite un silence macabre. Il me fixe de ses yeux embués, tandis que j'avale ce qu'il reste de sa fille. La douleur de cet homme est un délice, comme je m'y attendais. Je me dirige vers la porte, savourant la fin de ce repas délicat, avant d'adresser un dernier regard à Gabran.

"Merci pour ce repas, mon cher Gabran. Porte toi bien."

Plic. Ploc. Deux goûtes de sang se faufilent entre mes lèvres avant de tomber. Je ferme la porte de la bâtisse derrière moi, ce repas était exquis, quel dommage que je ne puisse pas en savourer d'une telle qualité plus souvent. Bon, il est temps de rentrer. Je commence à m'avancer tout en réajustant le col de ma chemise. Tiens ? J'ai une tâche.


Fait par Soraka pour Valoran's


Invité
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*Jinx*
avatar
*Jinx*
Lun 14 Aoû - 20:41
Heyyy !!! Bienvenue Tahm-Tahm !!! 8D Bon courage pour ta fiche !!!
*Jinx*
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*Draven*
*Draven*
*Draven*
Mar 15 Aoû - 2:21
Oh un poisson chat qui a la même moustache que moi ( En moins classe) :[O

Draaaaaven te souhaite bienvenue Tham :[DD
*Draven*
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*Ashe*
*Ashe*
*Ashe*
Mar 15 Aoû - 11:33
Bienvenue par minou ! IHIHIHIHIHII
Bon courage pour ta fiche Wink
*Ashe*
http://signup.leagueoflegends.com/?ref=525d87c252227099584222
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Varus
Le Dernier Gardien
~ Papi Varus ~
Varus
Varus
Le Dernier Gardien ~ Papi Varus ~
Mar 15 Aoû - 14:02
Deux descriptions bien plaisantes, qui mettent en bouche pour la suite ! J'ai hâte de lire ton histoire mon cher Tahm !
Varus
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Invité
Invité
Anonymous
Invité
Mar 15 Aoû - 19:55
Merci pour votre accueil ! Par ailleurs, j'ai terminé la fiche.
Invité
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Varus
Le Dernier Gardien
~ Papi Varus ~
Varus
Varus
Le Dernier Gardien ~ Papi Varus ~
Ven 18 Aoû - 19:44
Alors, je vais faire simple : j'aime. J'aime l'humour sous-jacent et l'ironie que tu fais sentir dans le discours de Tahm, j'aime la façon dont tu présentes son point de vue sur ses repas. L'exemple ressemble beaucoup à celui de son BG original, mais plus détaillé sur sa manière de procéder. Tu reprends un procédé narratif assez similaire avec ta touche personnelle, et cela rend ton histoire très plaisante à lire.
Une petite question : pourquoi ne dévore-t-il pas Garan pour finir ? Parce que sa détresse n'en sera que plus grande ?

C'est avec un grand plaisir très cher Tahm, que je t'accorde ma première validation ! Vu la teneur de ton récit je doute que la seconde se fasse attendre bien longtemps.

Tahm Kench, le roi des rivières [Terminé] 752226Flcherougep
Varus
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*Kayle*
*Kayle*
*Kayle*
Ven 15 Sep - 14:50
Alors comment dire ...

Je suis totalement fan de l'histoire.

J'adore la façon dont elle est écrite, comment le fil est amené, comment la chose est expliquée, comment le dénouement à lieu. Je suis parfaitement séduit. Le petit rappel à la fin, la redondance du "Plic, ploc" nous rappelle bien que l'action n'a pas durée plus de quelques minutes. Et j'aime beaucoup.

Pour répondre à Varus : La dette à été remboursé. Gabran a accepté le marché concernant sa femme. Le marché était de récupérer sa famille, en échange d'un repas. Hé bien il a eu son repas : ladite famille. Le marché étant conclu, se serait malvenu pour un gentleman de réclamer plus. Tu me dis si je fais totalement fausse route, mais ça me semble le plus logique.

C'est un avec un plaisir non feint et non caché, Tahm Kench, que je t'accorde cette seconde validation ! Bonne chance dans ce vaste monde, et j'ai déjà une idée si tu acceptes une humble ange loin de chez elle dans une histoire qui peut valoir le coup, un marché qui pourrait dépasser, et de loin, tout ceux t'ayant jamais été proposé ...

Je t'invite désormais à aller faire ta fiche relationnelle ici !

Je tiens à m'excuser également pour l'attente. Ces 3 (voir 4) derniers mois ayant été très compliqués et chargés pour moi, je n'ai que très peu eu le temps de m'occuper de l'administration. Merci de ta patience.
*Kayle*
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