Yasuo-le disgrasier

Message du conseil supérieur d'Ionia :

Nous recherchons un homme du nom de Yasuo qui est dans la trentaine. Cet homme est extrêmement dangereux. Ne tentez surtout pas de l'attaquer.

L'homme est reconnaissable par sa coiffure assez atypique. Sa chevelure se dresse en l'air comme un i, les cheveux de couleur noirs le tout tenu par une bande de tissu. Le visage de l'individu est marqué d'une cicatrice au niveau du nez partant vers son œil gauche. Ses yeux sont de couleur noire, les traits de son visage sont assez marquer. L'homme mesure dans les un mètre septante, la carrure assez fine et droite. L'individu aurait une cicatrice au niveau du ventre, mais cela n'est pas sûr.

Au niveau vestimentaire, l'homme porte une tunique bleu clair dont il ne reste que le dessus. Il porte un pantalon au couleur bleu légèrement plus foncé que le dessus, le tissue des jambes est ample. Le pantalon est tenu par une ceinture en tresse. L'homme a aussi une épaulière sur l'épaule gauche. L'épaulière serait constitué de plusieurs plaques de métal, l'homme porterait aussi des protèges bras.

L'homme manie un katana du vent ce qui le rend extrêmement dangereux. Celui-ci est décoré au niveau de la garde par une symbolisation du vent qui souffle. Nous vous le répétons cet homme est dangereux si vous l'apercevez, prévenez un membre de l'ordre au plus vite.

Attention aux dernières nouvelles l'homme s'habillerait aussi d'une tenue de "cow-boy". Voici une description de son autre tenue.

Elle serait faite d'un chapeau en cuir au bord long avec une plaque en métal sur le dessous juste avant le bord du chapeau. Il porterait aussi une écharpe rouge avec des motives en blanc, l'écharpe ferait aussi office de cape. Le fugitif aurait aussi un t-shirt blanc et une ceinture qui passerait de son épaule gauche jusqu'au milieu de son ventre, la ceinture aurait des balles tout son long. La tenue se termine avec un pantalon en cuir ainsi que des gants eux aussi en cuire. L'homme aurait une deuxième lame donc la garde serait affûter d'un pistolet.

Rapport d'un soldat démacien:

J'étais à mon poste près de la porte nord de la ville comme a mon habitude. Je surveillais les entrer et sortie de la ville. Dans la foule mon regard fini par tomber sur un homme qui a changé ma vie. L'homme était sous un tissu pour ne pas être reconnu ce qui m'interpella et demanda à l'homme de bien vouloir me suivre sans donner de précision. L'homme me suivit sans discuter et sans faire quoi que se soit et ne semblait pas nerveux mais difficile a dire car je ne pouvais voir son visage cacher par la capuche.

Sur le trajet l'homme était silencieux et calme quand après quelque secondes de marche l'homme m’interpella "J'ai fait quelque chose que je ne devais pas?" Je répondis à l'homme qu'il ne s'agissait que d'un contrôle de routine.

Arriver dans le centre de garde j'invitai l'homme à s'assoir. Je demandai à l'inconnue de bien vouloir retirer sa capuche que je puisse voir son visage mais l'homme hésita puis enleva sa capuche. Lorsque je fis le visage de l'homme la première chose qui attira mon regard fut la cicatrice qu'il avait au niveau du nez. Je lui posai des questions sur qui il était et pourquoi il venait dans nos contrés, il commença à me parler mais je compris ce n'était que des mensonge au moment où je regarda le mur du fond la surprise me fut total. L'homme qui était en face de moi était Yasuo, un homme rechercher pour meurtre envers un dirigent au placer. Alors qu'il me parlait je fixais l'affiche de sa recherche qui était sur le mur juste derrière lui.

Yasuo se leva brusquement quand il comprit que je l'avais reconnu. Je le stoppai en lui prenant sa cape avec la quelle il se couvrait pour se cacher. "Je ne veux pas que vous soyez arrêté. Je ne doute pas personnellement de votre innocence." L'épéiste me regarda avec un air suspicieux ignorant si j'étais sérieux ou si je me moquais de lui. Par chance pour nous deux il n'y avait personne pour nous entendre ou nous voir dans le poste. "Je veux bien vous loger pour cette nuit. Le soleil va bientôt se coucher et je doute fort que vous avez un lieu où vous reposer." Yasuo semblait réfléchir à mon offre. "J'accepte. Vous m'avez l'air de quelqu'un honnête. Ne gâcher pas ma confiance." Je lui répondis par un signe de la tête. Je lui expliqua alors ou se situe ma maison pour qu'il m'attente dedans.

En fin de journée je rejoignis mon inviter chez moi. Il m'attendait dans le salon un livre en main. "Navrez pour la longue attente. Je ne voulais pas attirer l'attention en quittant mon poste prématurément." "Ne vous excusez pas, c'est moi qui devrais m'excuser vous me logez si gentiment alors que nous nous ne connaissons pas. Je fais peut-être vous paraître indiscret mais pourquoi avoir bien voulut de me loger?" Je souris à la question qui pour moi sonnait comme une évidence. "J'ai toujours étais fasciner par la ligue. Vous êtes un champion et pour moi avec les services que vous avez rendu il est normal que l'on vous rende l'appareille. Mais le monde ne semble pas penser comme moi." Yasuo mit sa main sur mon épauler comme pour me rassurer. Son visage semblait se vouloir réconfortant, ce qu'il était.

Le reste de la journée nous avons fait ample connaissance. Je pus constater qu'il s'agissait d'un homme tourmenter par son passer et qu'il n'était plus sur de ce qu'il était. Il me confia aussi que d'habitude il est de nature plus méfiante envers les gens suite aux nombreuses déceptions qu'il eu dans sa vie ce que je peux comprendre. Il semblait aussi être quelqu'un de très noble dans sa façon d'être, se tenant bien et toujours d'une politesse irréprochable. Voir trop même, mais je pense que c'est du au fait que je l'ai invité à pouvoir séjourner dans ma demeure.

Le lendemain, je ne retrouvai qu'un mot sur la table du salon. On peut y lire "Que le vent soit à tes côtés mon ami." Il ne me fallu pas long avant de faire mes affaires et de poser ma démission avant de le rejoindre. C'est donc mon dernier rapport en tant que garde de Démacia.

"Nous avons une destination précise ? Ou nous allons là où nous mènera ce sentier ?" Il était curieux, mais cela ne me dérangeait guerre. Je lui montrai la route qui menait à la forêt. "Voilà par ou je fais aller. Toi, tu vas rester ici. Je ne veux pas t'embarquer dans mes problèmes." Il ferma les yeux avant de prendre une grande inspiration puis me répondit "Je suis officiellement un fugitif. Je t'ai laissé dormir chez moi, t'ai couvert et permis de partir alors que j'étais conscient de qui tu es. Donc non, je ne partirais pas." Imbécile, il a tout claqué juste pour moi, ce mec doit vraiment m'admirer pour faire cela. Pas le choix, je soupire avant de reprendre la route. Sur le chemin, je lui explique que mon seul projet était de trouver un moyen de me racheter auprès d'Ionia et de venger la mort de mon frère en tuant le vrai assassin de l'ancien que je devais protéger.

La nuit était tombée, l'air devenait frai. Le ciel se couvrait d'étoiles, parmi elle une étoile filait de part en part. Le spectacle céleste était magnifique. Mon nouveau compagnon dont je ne parvenais à me souvenir le nom m'interpela "Il serait bon de s'installer pour la nuit. Les lieux ont l'air sur pour un campement." Me confia-t-il sur un ton sûr. Nous fîmes un feu avait de nous poser sur des rochers. Je me cassais la tête à retrouver son nom, mais je n'y parvenais pas. Par abandons, je décide de lui demander "Excuse moi, j'ai oublié comment tu te nommes. Tu pourrais me le rappeler ?"

Le jeune homme sourit ce qui me permit de le regarder en détail. Il portait des habits en soit simple pour un ancien soldat, une chemise blanche sans motif avec un pantalon brun classique. Seule sa coiffure sortait de l'ordinaire, les cheveux bruns en bataille comme si une bombe avait explosé dans sa chevelure étonnamment dense. Il avait le visage rond et les yeux bleu ciel très claire.

"Je m'appelle Ragnus. Ce n'est rien que tu ailles oublier mon nom après tout on se connait à peine. Mais si cela ne te dérange pas, j'aimerais en savoir plus sur cet événement tragique de ta vie que tu m'as parlé lorsque tu étais chez moi ?"
Je pris un moment avant de commencer, je n'aimais pas vraiment parler de cet événement d'au tant que j'ai perdu ma seule famille : mon frère. "Tout commença trois semaines avant l'attaque de Noxus sur les côtes ioniennes."

"Mon frère, je t'en surplis laisse la raison parler et accepte ce poste. Je ai l'intime conviction que cela te permettra d'apprendre la patience." Mon frère me tenta une graine d'arbre une leçon que j'avais oubliée avec le temps. Je pris la graine en signe d'acceptation de la mission de garde, cela soulagea mon frère qui me remercia d'avoir accepté même si au fond de moi, je ne faisais cela dans l'unique but qu'il me laisse tranquille. Les jours passaient et les tensions se faisaient ressentir, armes et hommes prêts a riposter an cas d'attaque. Les soldats étaient plus nombreux dans les rues et les personnes importantes étaient sous garde en continue. De mon côté, je me faisais encore remarquer par mon laissé allé et mon manque de retenue.

Le jour venu, je me rendis à mon poste soupirant déjà avant d'avoir commencé, le lieu était un temple en hauteur avec un escalier qui n'en finissait pas pour atteindre un temple à l'architecture tellement classique. Je me mis à mon poste cherchant à m'occuper pour que chaque minute ne soit pas des heures, mais pas faciles quand la seule chose que l'on te demande est d'attendre. Le temps me s'emblait durer une éternité et le combat sur les côtes se faisait entendre jusque ici comme pour m'appeler à aller sur le champ de bataille, le cri était trop fort avec le temps pour lui résister. Je pris ma lame est parti en direction du champ de bataille laissant l'ancien seul sans protection.

La plage était un enfer, les corps jonchaient le sable tacheté de sang avec le cri des soldats qui tombaient sous les lames. Je chargeai sur la ligne de front pour être dans la mêler. Les soldats ennemis étaient par centaine, à peine, j'en tuais un qu'un autre arrivait, mais il en fallait plus pour m'avoir. Une bonne heure était passée et l'assaut fut repoussé. Je finis le dernier avec coup sec qui ouvrit son ventre en deux laissant ses tripes à l'air. Légèrement blesser, je retournai au plus vite à mon poste pour que personne ne s'ache que j'ai quitté mon poste et laisser l'ancien sans surveillance. À mon retour se fut-le même scénario que sur la plage, du sang sur les murs et l'ancien sur le sol dans son propre sang. À la vue du spectacle, la peur me saisit. J'entendis les pas d'un homme arriver, sans hésiter je pris la fuite, mais l'homme m'avait vu. Il hurla "Traitre. Assassin." Je m'en doutais qu'on allât m'accuser. Les soldats encore en vie se lancèrent à ma poursuite. Je parvins à les semer dans la forêt par miracle. J'entendais les bots qui marchaient tout autour de moi, le brouhaha m'en péchait de savoir d'où venaient les soldats. Mon cœur battait dans ma poitrine si fort que je pensais qu'il allait sortir de ma cage thoracique. Je continuai ma fuite en direction opposée à celle du village m'enfonçant dans la forêt.

Quelque jour plus tard, mon meilleur ami finit par croiser ma route. Un homme grand et fort reconnu comme le plus grand épéiste de tout Ionia. Je lui fis face à contre cœur. Il ne me fallut pas longtemps pour mettre à terre mon adversaire. Normal, nul ne peux trancher le vent. Le lendemain se fut une femme aussi agile qu'un oiseau et rapide que tout animal. Mais comme mon meilleur ami, il ne me fallut pas longtemps pour la tuer, car rien n'est plus agile et rapide que le vent.

Le dernier ne fut pas des moindre, mon frère Yone. La personne qui m'avait guidé et qui était ma seule famille. Notre champ de bataille fut une plaine entourée pas une forêt de bambou si dense que l'on ne pouvait pas voir au travers. Lame en main, j'étais près à le combattre. Le vent souffla puis le choc des lames. Un bruit strident qui vint interrompre le silence des lieux. Les yeux fixent sur moi, je n'y voyais que de la haine et de l'incompréhension. "Pourquoi? Pourquoi tu ne me crois pas ?" Ma question ne trouva pas réponse. Je repoussai sa lame avec mon avant-bras avant de lui renvoyer un coup qui le toucha. Je fus surpris sur le moment qu'il n'ait pas réagi. Je le pris gisent sur le sol dans son sang. "Pourquoi?" C'était la seule chose que mes lèvres pouvaient prononcer. "L'ancien a été tué par une technique du vent. Qui veux-tu que se soit d'autre ?" Sa vie prit fin sur ces mots. Mon hurlement transperça le calme des lieux avant de revenir. Je sentais les larmes chaudes sur mon visage qui coulaient le corps inerte de mon frère dans mes mains son sang qui continuait de coulé . À ce moment, je n'avais qu'une idée en tête trouvée qui à tuer mon frère. Par la suite, je pris la décision de rejoindre la ligue. Je pensais que ça m'aiderait à me racheter de mes fautes. C'est dans un match comme les autres que je finis par croiser sa route d'un champion en particulier. Elle a utilisé une technique du vent lors du combat. C'est là que je sus qui avait tué l'ancien est qui est ma cible. Autour du feu Ragnus regardait Yasuo ébahi par son histoire. "Voilà maintenant, tu sais tout." Mes mots me semblait comme un soulagement. Je sentais un poids s'enlever sur moi. Je regardai Ragnus dans les yeux avait de lui dire "Maintenant mon seul but est de mettre fin au jour de ce champion quel que soit le prix à payer."