*Katarina*
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Jeu 9 Juil - 14:04



Carte d'identitéPour vous connaître un peu mieux
Votre Personnage
NOM : Katarina Du Couteau
SURNOM : Sinister Blade
GENRE: Féminin
OCCUPATION : Assassin
RÉSIDENCE : Manoir Du Couteau - Noxus
Vous
VOTRE PSEUDO DE LOL : AnyanKat
PRÉNOM : Sarah ICI
VOTRE AGE: 20 ans
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? : Top Sites
AVEZ-VOUS DES SUGGESTIONS POUR LE FORUM ? : Faire les graphismes depuis un écran de taille normale ? :3
VOTRE PRÉSENCE ? : Accro
Son apparence :
''La maîtresse des lames de Noxus est telle une veuve noire : magnifique, mais mortelle.'' -- Garen, la Force de Demacia.

Pensez vous que pour être intimidant, il fallait forcément être grand, imposant, et bardé de muscles ? Si oui, c'est que vous n'avez encore jamais croisé la Lame Sinistre. Si elle se distingue par sa petite taille, et sa carrure fine et svelte aux formes généreuses, au milieu d'une armée de soldats musculeux et bardés de métal, elle garde néanmoins le buste froid, la tête haute, et si elle a décidé de vous effrayer, bien rares sont ceux qui ne sentiront pas un frisson leur traverser l'échine. En cause : une longue chevelure couleur feu et sang, couvrant des yeux couleur émeraude, légèrement tirés en amande, capables de vous darder un regard si assassin qu'on prétends qu'il lui est parfois suffisant pour tuer. Particulièrement lorsqu'il est accompagné d'un grand sourire carnassier et prédateur, dévoilant une paire de canines anormalement aiguisées. Naturelles, ou taillées ? Nul ne s'est risqué à lui poser la question.

Assassin professionnel, et maitresse des champs de bataille, un seul coup d'oeil suffit à comprendre que sa vie est dédiée au combat. Si son corps est parcouru de plusieurs cicatrices, reste de nombreuses affrontements sur le fil des lames, la plus visible est sans aucun doute celle qui lui traverse l'oeil gauche, marquant son visage d'un rappel permanent du prix des erreurs de jugement. Quant à sa tenue, elle ne protège que bien peu son corps svelte, privilégiant la liberté de mouvement pour esquiver. Tenue moulante et légère en cuir, les seules protections qu'elle porte sont des brassards hérissés de pointes métalliques aux poignets, ainsi que des mitaines et bottes renforcées de piques, lui permettant de verser le sang d'un seul coup de poing ou de pied. Cependant, cela ne reste que des mesures d'urgence, car Katarina est avant tout et de loin, une maitresse des lames. Bardée de ceintures, portant en permanence plus d'une quarantaine de lames différentes sur son corps, de toute tailles, formes, et utilités, les plus significatives, lui ayant valu le surnom de Lame Sinistre, sont sans aucun doute ses jumelles, armes de prédiléction en affrontement rapproché : deux épées courtes, doublement courbées, incrustées de pierres runiques pour pouvoir être gorgées de magie, dont la simple vision évoque immédiatement leur propriétaire, par leur forme unique sur tout Runeterra. Mais s'en tenir à ces deux lames serait oublier bien des atouts possédant l'assassin, oubli risquant bien de s'avérer mortel, si elle venait à tirer de son dos les deux lames droites qu'elle y garde croisées. Hérissées de pointes courbées en crochet sur toute leur longueur, celles-ci ne servent qu'à une chose : empaler une cible trop, et arracher toute chaire sur leur passage en les retirant.  

Mais si Katarina est une très bonne combattante de contact, la plupart du temps, elle se contente d'abattre ses cibles à distance, grâce à sa maitrise parfaite des couteaux de jets. De toute forme pour les parties du corps visées, équilibrés à la perfection, elle en porte de nombreux au niveau de la taille, ainsi qu'à des ceintures couvrant ses cuisses. Elle en use cependant avec parcimonie, car tenus par de simples ficelles légères se tranchant lorsqu'elle les tire pour les lancer, elle ne peut par la suite pas les raccrocher avant d'avoir fait fabriquer de nouvelles attaches.

Ses ceintures portent bien d'autres surprises dans leurs petites fourres, d'autres lames qu'elle use plus rarement, fioles de poisons ou de contrepoison, outils utilitaires... Tout le matériel dont elle pourrait avoir besoin là ou elle se rend, que ce soit pour tuer, ou pour survivre. Toujours est-il que lorsqu'elle peut, le soir, les retirer pour se mettre à l'aise, c'est un véritable soulagement de se débarrasser de plusieurs kilos de cuir et de métal serrés sur sa peau...

Car l'assassin a également une vie en dehors de son travail, et trop nombreux sont ceux qui l'oublient. Lorsqu'elle est dans ses loisirs, entre deux séances d'entrainement physique et au combat, elle porte en général une tenue bien plus décontractée. Mais son temps libre est aussi le moment de laisser sa féminité s'exprimer : maquillage léger, tenues plus féminines. Abandon de l'odeur de cuir, de métal et de sang l'accompagnant sur le champ de bataille, pour un parfum plus doux, aux senteurs de jasmin ou de mûre sauvage. Ses vêtements sont généralement sobres, sans excédents de fourrure, d'apparat ou de dentelles, et sans considérations de modes, mais faits des tissus les plus luxueux, et taillé sur mesure pour mettre en avant ses courbes enjôleuses. En fonction de la situation, elle peut ou non, garder une simple paire de lames sur elle, pour se défendre : l'assassin reste prudent à tous les instants.
Son caractère :
Car il n'est pas donné à tout le monde de survive à Noxus, particulièrement quand l'on trempe dans de sales affaires. En tant qu'assassin, et membre d'une famille réputée au service de Noxus depuis des générations, les rendant aussi riches et influents que terrifiants, sa simple réputation suffit souvent à intimider et dissuader qui que ce soit de l'approcher avec de mauvaises intentions. Mais pas toujours : nombreux sont ceux qui aimeraient la voir tomber, par vengeance pure, ou par rivalité envers sa famille. Et ceux qui tentent de l'atteindre, sont ceux passés outre l'intimidation : les mieux préparés, et ayant le plus de moyens. Aussi, Katarina garde en permanence la tête froide, des lames à portée de main jusque dans son lit ou elle ne dort jamais que d'un oeil, et de la méfiance permanente pour l'univers entier.

Cependant, sa méfiance n'a rien à voir avec de la peur. Si la plupart des Noxiens sont élevés avec la certitude que seuls les forts survivent, en appliquant ce principe à eux même, songeant que s'ils ne deviennent pas plus fort, ils finiront dévorés, Katarina l'a intégré d'une façon légèrement... différente. Là ou l'homme tends à être une proie, depuis sa plus tendre enfance, elle a été élevée avec la certitude d'être un prédateur. Telle une louve veillant farouchement sur les siens, vouant une loyauté sans faille à l'empire de Noxus, sans être une fervente sauveuse de la veuve et de l'orphelin - elle laisse à aux Démaciens -, Katarina à coeur de protéger Noxus, et sa population, autant en ville qu'en dehors. Ce n'est pas pour survivre qu'elle tends à être forte, mais pour réduire au maximum le nombre de forts capables de lui survivre à elle, si besoin venait de défendre ses intérêts. Cette mentalité prédatrice l'ayant dotée d'un instinct de tueuse hors pair, et d'une capacité à dégager une aura de terreur parmi tous ceux à qui elle montre de la malveillance... Qu'elle soit réelle ou simulée.

Car malgré son professionnalisme à tuer, et son côté farouche, Katarina est très joueuse, au caractère bien trempé, et prompte à l'affrontement. Aussi, elle ne se gêne pas pour terroriser l'espace de quelques instants, même ses propres amis ou alliés, par simple plaisir du jeu. Enfant taquine et malicieuse, au goût prononcé pour les effusions de sang, ayant passé plus de temps à s'entrainer aux armes, et à jouer avec des caïds des rues qu'à ses leçons, la femme qu'elle est devenue n'a rien perdu de ses traits, même si ses manières effrontées sont mieux contenues, pour tenter de coller au statut de femme de la noblesse qui est le sien.

Mieux vaut cependant être dans son camp, ou son caractère joueur mêlé à sa férocité et son absence totale de pitié pour ses ennemis, risquent de se mêler pour former un seul et même adjectif : du sadisme. Elle n'hésite pas, lorsqu'elle considère à travail trop facile, à le pimenter en proposant à sa cible de tenter de s'enfuir, en lui laissant quelques minutes d'avance, afin de lancer une traque plus intéressante, durant laquelle elle prendra plaisir à donner de petits signes de sa présence aux alentours pour vous admirer en train de paniquer et tenter de changer de direction... Et vous mener parfaitement là ou elle le souhaite avant de, finalement, se dévoiler et vous tuer. Et si vous voulez l'affrontez, prenez garde à être à la hauteur, car la mentalité Noxienne veut que l'on ne tente de combattre que ceux que l'on pense pouvoir vaincre. Aussi, si vous êtes trop faible, elle prendra votre tentative comme une insulte envers sa personne, que vous auriez sous estimée, et se montrera des plus cruelles, sans aucune hésitation à déterminer combien de cris d'animaux vous êtes capable d'imiter avant de vous achever.

Sachez cependant une chose, si un jour vous vous retrouvez face à une Katarina vous ayant pris pour cible : vous avez toujours le choix. Son jeu de traque et d'affrontement n'est qu'une proposition : déclinez là, acceptez la mort qu'elle apporte, et elle vous l'accordera de façon rapide, et quasiment indolore. Tentez de jouer avec elle, et elle jouera... Au prix d'un gage des plus désagréable si elle gagne. Prenez garde, car elle n'a encore jamais perdu...
Son histoire/RP Test :
Candidat : Katarina Du Couteau
Date: 10 août, 15 CLE


OBSERVATION

Prudente, à pas mesurés, d’une démarche naturellement silencieuse, Katarina se déplace avec une certaine méfiance apparente sur le somptueux sol de l’Institut. Vêtue d’une tenue légère et moulante, épousant parfaitement la forme de son corps pour n’entraver en rien ses mouvements, de nombreuses ceintures bardées de lames en tout genre épousent les formes de son corps, disposées avec adresse pour ne produire le moindre son lors de ses déplacements. Longues, courtes, droites, incurvées, faite pour la proximité ou la distance, elle dénombre un impressionnant panel, semblant pouvoir s’adapter à n’importe quelle situation. Mais le plus singulier dans son apparence est sans doute sa longue chevelure aussi écarlate que le sang, qui tombe en cascade sur ses yeux verts émeraude, dont l’un est barré d’une longue effilade, cicatrice semblant déjà bien ancienne pour l’âge de la jeune femme à peine sortie de la vingtaine.

Si sa tête est droite et parait fixe, cela n’empêche en rien ses yeux de se déplacer par saccade, étudiant tout son environnement avec soin, s’imprégnant de chaque petit détail qui l’entoure. Finalement, parvenue devant une grande porte à doubles battants, lui évoquant la splendeur et la richesse de sa propre habitation, elle caresse le bois du bout des doigts, goûtant à sa texture, cherchant à y déceler la moindre imperfection, en vain. De la haute manufacture, sans aucun doute, mais qui s’en étonnerait ?

Levant les yeux vers l’inscription qui la surplombe, relisant cette dernière, les yeux légèrement plissés. « C’est en soi qu’est l’adversaire véritable », suggèrent ces lieux. Elle semble réfléchir à cette phrase, et à ce qu’elle sous entends durant un instant. Il semble difficile, pour une Noxienne aussi loyale que l’assassin qu’elle est, d’imaginer que l’adversaire puisse ne pas être le reste du monde.

« Un adversaire d’autant plus fort que l’on se laisse aller à la faiblesse », sussure-t-elle entre ses dents. Mais elle ne se craint pas. Elle sait avoir appris, avant de prétendre droit de vie ou de mort sur ses proies, à travailler ses propres faiblesses, pour ne pas se trahir elle-même. Après un dernier coup d’œil derrière son épaule, elle pousse silencieusement les lourds battants, et pénètre vers ce gouffre d’inconnu qui lui tend les bras.

RÉFLEXION

Aussitôt, une assaillante odeur de sang l’atteignit, la prenant à la gorge. En temps normal, ce n’était pas un parfum pour la déranger, mais le spectacle qui l’accompagnait lui nouait les tripes.
Non pas que la vue de corps transpercés, aux têtes coupées, ou éventrés ne l’impressionne particulièrement. Mais la vue des uniformes Noxiens que portaient les victimes de ce carnage lui faisait tourner la tête, et ses yeux grands ouverts fixaient le spectacle avec angoisse. Une seule certitude l’habitait, insupportable, résonnant en elle comme un fracassant tambour

« Tu es la seule responsable de ce carnage »

Noxus lui avait pourtant fait confiance. Sa mission était pourtant simple. Elle devait assassiner cet officier sans grand intérêt, rien de plus. Et pourtant…
Elle s’était laissée entrainée par sa voracité, et par une cible bien plus intéressante, au point d’en négliger la première. Et par sa faute, tous ces hommes de son armée avaient péris, contemplant le ciel de leurs yeux vides, dans une mort vaine, et qui aurait pu être évitée si facilement, si seulement elle n’avait pas manqué de bon sens.

Plus besoin de faire dans la discrétion, cette fois. Sa haine et sa colère la consumaient, la poussant vers le combat au mépris de sa propre personne. Elle se haïssait, en cet instant, plus encore qu’elles haïssaient ses ennemis. Ce soi, eux ou elle périraient, mais le sang serait lavé dans le sang quoi qu’il en coûte. Tournant le dos au carnage, ses doigts caressant les manches de ses armes accrochées à sa ceinture, elle prit la route, fermant les yeux sous la sensation tiède roulant sur ses joues.

Lorsqu’elle les rouvrit, sa vision était floue, brouillées, et tâchée d’un voile rouge. Quant à la sensation humide et tiède sur ses joues, elle n’était plus dues aux larmes, constata-t-elle en passant ses doigts sur sa peau, mais au sang qui la recouvrait. Son œil gauche était enflé et douloureux, saignant abondamment. Tout autour, à peine pouvait-elle distinguer un amoncellement de corps égorgés, ou au cœur transpercé, qui gisaient au sol, dans une mare de boue sanglante. Elle respirait rapidement, la gorge et les poumons brulants, de la vapeur se formant sur sa peau, dans l’obscurité fraiche, dont le vent la saisit soudainement, lui arrachant un frisson.

Elle était blessée, épuisée, à bout de forces. Mais à ses pieds, gisait sa cible, celle qu’elle devait éliminer la veille, et responsable de l’embuscade. Ainsi que tous ceux qui la protégeaient. Un sourire dément se dessina sur son visage maculé de sang. Elle y était parvenue, elle avait lavé sa faute, et en était sortie en vie, contre toutes attentes. Poussée par une colère féroce, elle avait pu se dépasser, et en cet instant, elle se sentait plus vivante que jamais.

Lentement, la scène s’effaça sous ses yeux, dont la clarté lui revint. Elle voyait de nouveau bien, son regard perçant la nuit, tandis qu’elle se faufilait dans une procession ennemie, cherchant quelque chose de bien précis. Accomplir cette mission. Elle reconnaissait cette vision… Elle la reconnaissait entre mille. Elle savait ce qu’il allait advenir dans les prochaines secondes, et son cœur battait déjà la chamade. Bientôt, elle se heurterait au seul adversaire qu’elle n’ait pu vaincre. Celui qui, une fois de plus, la ferait se sentir vivante, alors qu’elle frôlerait la mort à chaque instant.
Oui, Crownguard… Il était là, gardant le trésor qu’elle convoitait, et voilà que cet affrontement, qu’elle avait presque oublié tant il s’était suivi de nombreux autres, recommençait. Lame contre lame, dansant sur un fil, suspendu au-dessus de la mort, telle une funambule tentant de précipiter son adversaire dans le vide. L’exaltation du combat l’enivrait. Qui d’autre pouvait-il mieux comprendre cette sensation, que son adversaire ? Années après années, ils s’étaient attendus, pour s’affronter, encore et encore, visant la perfection autant que l’adrénaline, tandis que leur haine mutuelle se tintait de respect. Cette guerre l’emplissait de vie, là où la paix lui laissait un amer et morne gout de vide.

Il était si proche… D’un bond, elle était sur lui, tout près de sa gorge, son épée parant au dernier moment. Leurs lames mutuelles à quelques millimètres de l’autre… Un sourire amusé étendit soudainement les lèvres de Garen Crownguard, figeant cette position dans le temps, tandis qu’ils se contemplaient.

« Pourquoi veux-tu rejoindre la League, Katarina ? »

Elle cligne des yeux, tandis que l’illusion s’efface autour. Plus de champ de bataille, mais des murs de pierre, et de grandes portes fermées devant elle. Plissant ses yeux émeraudes, elle recule légèrement.

La guerre est terminée. L’Institut de Guerre a imposé la paix sur tout le continent, ne leur laissant plus désormais que la possibilité de régler leurs comptes dans cette League, dans des combats organisés et encadrés, par des champions jetés comme des coqs sur lesquels on prend des paris.
Elle siffle entre ses dents avec colère, frappée par le contraste entre le passé et le présent, la délicieuse sensation de vie qui l’habitait lorsqu’elle s’épanouissait dans la guerre, et la morne routine sans intérêt qui est désormais la sienne.

« Pourquoi veux-tu rejoindre la League, Katarina ? » La voix de Garen Crownguard se fait impatiente, tandis que la force qu’il appuie sur elle de son épée s’amplifie.

« Parce que c’est tout ce que vous nous avez laissé » gronde-t-elle d’une voix froide et coléreuse, repoussant avec toutes ses forces la lame sur elle, pour appuyer la sienne contre la gorge de l’invocateur qui lui fait face. « Vous pensez que j’ai envie de la rejoindre ? C’est le seul endroit où je puisse encore défendre les intérêts de Noxus, et me battre pour elle, désormais. »

Le sourire de l’homme se fait plus amusé encore, tandis qu’il relâche la pression de sa lame, la laissant faire de même. Se penchant vers elle de sa haute stature, il lui chuchote :

« Quelle impression cela fait-il de dévoiler ainsi ta pensée ? »

« Déroutant », admet-elle avec froideur. « Et vous, quelle impression cela vous fait-il de vous sentir assez puissant pour imposer vos désirs à tout un continent ? »

Reprenant une lame en main, aussi rapide qu’un cobra, elle la plaque soudainement sous la gorge de l’homme, qui fronce les sourcils, s’apprêtant à réagir, tardivement. Cependant, Katarina n’appuie pas le tranchant, se contentant de le fixer d’un air froid, lui laissant tout le temps de réaliser que, si elle avait souhaité lui trancher la gorge, il n’aurait eu aucun moyen de s’en défendre à temps. D’une voix glaciale, elle susurre :

« La guerre ne peut être éloignée à jamais, Invocateur. Et vous aurez beau utiliser tous les artifices que vous désirerez pour percer l’esprit de vos jouets, vous ne saurez jamais entièrement les prédire. »

Le lâchant, elle bondit en arrière avec une grâce féline, tout en rangeant sa lame à sa ceinture. Devant elle, les grandes portes viennent de s'ouvrir, sur une éblouissante lumière. Sans un regard en arrière, elle les franchit, portant avec elle le rôle d’ambassadrice de Noxus. Elle fait partie des tous premiers champions à pénétrer l’impressionnante, bien que jeune, League of Legends.

© gotheim pour epicode
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*Katarina*
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Jeu 9 Juil - 18:28
Fini !
*Katarina*
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*Ashe*
*Ashe*
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Ven 10 Juil - 19:30
Coucou Kata !
Je t'apporte ta première validation ♥
C'était agréable à lire, très peu de fautes d'orthographe et j'ai bien aimé le passage avec Garen x3

Pour la taille, je vous proute :p Les images sont centrées donc c'est pas grave si vous voyez pas tout ! ^^ *aime les grosses bannières*
*Ashe*
http://signup.leagueoflegends.com/?ref=525d87c252227099584222
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Invité
Invité
Anonymous
Invité
Sam 11 Juil - 16:25
Salutation Katarina !
Je t'offre la seconde validation nécessaire !

Ta fiche est très bien travaillé et intéressante à lire, j'attend de voir (dixit Lee Sin) ce que va donner la veuve noire en rp !

Bienvenue parmi nous, Lame sinistre !
Invité
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