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Epreuve 4 • Frères ennemis • Dusk Lumiris [DL] - Les Trois Îles [L3I]

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Maître de Jeu
Maître de Jeu
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Mer 21 Oct - 18:16
Epreuve 4 • Frères ennemis • Dusk Lumiris [DL] - Les Trois Îles [L3I] 18042811493423808115690098
Interforum X

Epreuve 4 : Frères ennemis
Texte en miroir : FRERES ENNEMIS
Du samedi 24 octobre (00h01) au dimanche 25 octobre (23h59)
Il vous ressemble et pourtant vous êtes si différents. Vos idées divergent mais finissent parfois par se rejoindre, certains vous voient complémentaires, d'autres vous décrivent similaires. Quoiqu'il en soit, c'est quelqu'un qui a eu une grande influence sur vous et vous avez eu un grand impact dans sa vie. Pourtant, vous ne cessez de vous mesurer l'un avec l'autre, comment se finira cette compétition ?

Vous retrouvez une personne importante à vos yeux mais avec qui les relations n'ont pas toujours été simples. Les tensions ou la compétition entachent le lien qui vous unit mais pourtant, vous tenez toujours à ce proche qui a été là pour vous quand vous en aviez besoin. Vous avez aujourd'hui l'occasion de vous confronter avec lui ou elle une bonne fois pour toute. Comment allez-vous agir ?

Rappel ○ Texte en miroir :


En supplément :

• Aucun ordre n'est imposé, vous choisissez qui commence !
• Vous pouvez mettre une petite explication du miroir entre les deux textes si vous l'estimez nécessaire.
• N'hésitez pas à rejoindre la ShoutBox si vous n'avez pas encore trouvé votre binôme. Wink
• Si vous ne souhaitez pas de commentaire, n'oubliez pas de le mentionner. :p :p :p
• Les mises en forme sont autorisées, mais privilégiez la lisibilité !
• A propos de mise en forme, vous pouvez mettre un joli avatar en utilisant le code de transformation ! (Et le sujet est là pour faire des essais au préalable ! Wink)

○ N'oubliez pas de faire une petite mise en contexte (univers / personnage) au début de votre post. (En spoiler, c'est bien.) CALIN Ainsi qu'un avertissement si vous constatez que votre post contient une certaine violence. ○

Maître de Jeu
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Maelys Kowson
Invité
Anonymous
Maelys Kowson
Sam 24 Oct - 20:58
Maelys Kowson
Les Trois Îles :


Maelys :




Le garçon tapa du poing sur la table et se leva, faisant bruyamment tomber sa chaise au passage.

- MAIS QU’EST-CE QUI TOURNE PAS ROND CHEZ TOI ?!

Maelys leva les yeux vers lui, soudainement intriguée par le visage de son frère. Il était visiblement énervé. Ses pupilles étaient fixées sur elle. Ses doubles paupières luttaient contre la force de ses sourcils froncés à l’extrême. Elle ne l’avait jamais remarqué mais il avait…

- … une ride du lion, dit-elle sur un ton entendu.
- Tu te rends compte de… Hein, quoi ?
- Tu as une ride du lion. Là, pile entre tes sourcils. C’est rigolo.

Nordhal resta un moment hébété, un doigt en l’air, avant de le laisser retomber en même temps que sa tête.

Maelys ne remarqua même pas que la vue de son petit frère s’était brouillée. Elle mangeait sa part de gâteau au chocolat en la savourant pleinement pour en reconnaître les ingrédients. Elle ne vit pas les larmes en train de couler sur ce visage semblable au sien.

- Maelys… Tu reviens après deux mois, comme une fleur, sans dire bonjour, sans poser la moindre question. Deux mois, Maelys. Tu avais dit que tu resterais là-bas qu’une semaine, voire deux !
- Sérieux ? Autant ?! Ah j’aurais pas cru. En même temps, il m’est arrivé plein de trucs, j’ai rencontré un noble super cool, on est parti étudier les drag…
- J’EN AI RIEN A CIRER ! Arrête de toujours parler de toi, de toi, tout le temps ! Dans cette maison, y en a que pour toi ! Maelys, elle écrit super bien, Maelys, elle dessine trop bien, Maelys, elle est curieuse et elle est drôle, et qu’est-ce qu’elle est intelligente, tu devrais prendre exemple sur elle, Nordhal ! Oh, Maelys, elle va peut-être rentrer ce soir, faudrait lui préparer son repas, ah ! – Nordhal, faudrait que tu changes les draps de Maelys, Maelys, quelle superbe journaliste, Maelys, MAELYS, MAELYS !

Le garçon ne cessait de verser des larmes de rage, que Maelys ne comprenait toujours pas. Elle ne se rendait pas compte de tous les efforts que sa famille faisait pour elle. Elle n’avait pas conscience que son côté tête en l’air les obligeait à s’inquiéter pour elle. Quand elle s’en allait dans l’autre monde, ils ne pouvaient jamais être sûrs de la date de son retour. Quand elle revenait vivre avec eux, ils devaient continuellement lui rappeler que la douche n’était pas une option et que sauter plusieurs des repas qu’ils lui préparaient pouvait l’amener au malaise. Tout ça, elle ne le voyait pas.

La jeune rouquine lâcha sa cuillère noire de chocolat après avoir avalé une bouchée.

- Je ne vois pas trop où tu veux en venir mais… Tu me fais penser à quelque chose, dit-elle sérieusement.
- …
- Tu savais qu’autrefois, il était commun de posséder deux à trois prénoms différents ?
- …

Le garçon explosa.

- Et toi, tu savais que mon anniversaire, c’était la semaine dernière ?! Tu savais qu’à la remise des diplômes, j’étais seul parce que les parents peuvent pas se permettre de louper une seule journée de boulot ?! Maelys, tu te rends compte que toi tu es libre d’organiser ta journée comme tu veux ?! Que tu avais promis de venir avec moi ?! Ça devait être un des plus beaux jours de ma vie, et je l’ai passé seul comme un con parce que TOI, TOI T’ETAIS OCCUPEE A T’AMUSER AVEC UN PUTAIN DE PNJ, UNE PERSONNE QUI N’EXISTE PAS !!
- Mais… Non. Cette personne, elle existe vraiment, Nordhal. D’ailleurs, je peux t’expliquer comment ça march…
- Arrête. ARRETE DE PARLER, FERME-LA !
- Mais qu’est-ce qu’il se passe ici ? Nordhal, pourquoi tu cries comme ça sur ta sœur ?

Une femme d’âge mûr entra dans la pièce en trombe en regardant tour à tour ses enfants.
Le jeune homme en profita pour marquer un temps d’arrêt. Il le passa à essuyer ses larmes avant de poser ses yeux éteints sur Maelys. Il reprit la parole sur un ton rendu tremblant par ses émotions.  

- Tu vois ça, là ?

Il montra du doigt un tas de verre aussi coloré que cassé tandis que ses yeux s’inondaient. La jeune fille se pencha pour analyser l’objet passé que ces morceaux coupants avaient été. Elle ouvrit la bouche pour poser des questions mais son frère la coupa. Il parlait d’un ton étrangement calme.

- C’était un souvenir très important pour moi. Et tu l’as cassé. Et tu t’en fous. Tout ce qui compte pour toi, c’est ton petit monde, ta petite bulle. Et tout ce qui est autour, tu t’en fous. Tous les efforts qu’on fait pour toi, tu t’en fous. Tes promesses, du vent. Et nous… Je me demande ce qu’on fiche encore avec toi.

Il se retourna et quitta la pièce d’un pas lent et las, en refermant doucement la porte grinçante.

La vieille femme d’apparence fatiguée s’approcha de sa fille.

- Maelys…
- Hé maman, tu sais ce que c’était que cet objet ?!
- Maelys…
- Je vais retourner voir Nordhal, j’ai trop envie de savoir, fit-elle en se levant.
- Maelys !

La jeune fille s’arrêta net. Sa génitrice lui entoura la joue d’une de ses mains avec tendresse. Ses yeux étaient humides mais c’était avec affection qu’elle les posait sur sa fille.

- Tu as fait beaucoup de mal à ton frère. Il est important que tu lui demandes pardon.
- Mais ça va, du verre, ça se répare !
- Maelys. Ce n’est pas l’objet cassé qui compte le plus, tu le sais.

La petite rouquine baissa la tête. Elle avait compris. Elle sourit timidement à sa mère avant de passer la porte. Il fallait qu’elle le fasse maintenant, sinon elle oublierait. Son attention était tout le temps dure à maintenir. Son cerveau partait facilement dans tous les sens, embrumait son esprit par un torrent de questions brûlantes plus ou moins pertinentes dans sa situation. Elle ne se contrôlait pas, ni mentalement, ni physiquement. Les soubresauts incoercibles de ses membres l’amenaient à faire n’importe quoi. Comme casser des biens fragiles qu’elle n’avait même pas repérés.

Elle rejoignit son frère, assis droit comme un piquet sur un matelas grisonnant. Sa tristesse avait mouillé ses cuisses. Il détourna tête et regard. Elle le regarda avec une compassion précaire.

- Je suis désolée. Pour tout.

Elle le prit dans ses bras. Et même si elle sentit une légère résistance au début, il finit par accepter ce soutien physique. Elle luttait pour ne lui poser aucune question, il le savait. Il lui était si difficile de ne pas parler, de ne pas gigoter, mais aussi de se rappeler des choses mises en arrière-plan par un intérêt soudain ou une idée. Ce n’était pas de sa faute, c’était comme ça. Et il le comprenait.

Il lui fallait seulement prendre du recul et accepter les quelques efforts qu’elle réussirait à fournir. Mais ça, il le ferait plus tard.

Elle sentit son étreinte se renforcer alors qu’il pleurait sur son épaule. Elle sourit.

- A ce qui paraît, se faire régulièrement des câlins améliorerait la thermorégulation.

Nordhal ne put s’empêcher de pouffer en la gardant dans ses bras.

- Ah oui ? On devrait s’en faire plus souvent alors…
- Oui. Je reviendrai toutes les semaines pour ça.

Les sanglots étouffèrent les remerciements du garçon. Mais, étrangement, Maelys les devina.

Derrière la porte, une mère heureuse de la réconciliation de ses enfants contacta le supérieur de sa fille. Elle lui indiqua les anniversaires et autres grands événements de la famille. Ainsi que la nouvelle résolution de sa fille.
Maelys Kowson
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Mana'arii Ehu-kai
Invité
Anonymous
Mana'arii Ehu-kai
Dim 25 Oct - 13:17
Mana'arii Ehu-kai
Frères ennemis
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Épreuve n°4 - Interforum X

Dusk Lumiris & Mana'arii:


Mana’arii le savait : la suppression de l’application n’aurait pas dû être une option.
Même s’il n’avait jamais pu s’y résoudre, c’était une douloureuse évidence qui lui sautait au visage à chaque fois que le bleu nacré de ses pupilles croisait une nouvelle publication de Vai’ata Ehu-kai. (Et Arceus savait que ça arrivait beaucoup trop souvent à son goût.)
(Son activité témoignait bien de sa véritable utilité.)

À tous les coups, la petite voix dans sa tête lui rappelait ce qu’il savait déjà : il se faisait du mal. Il se faisait du mal volontairement.
À vouloir tout connaître du quotidien de sa soeur et à ne pas savoir tourner la page, il traînait sur son sillage le poids d’un exécrable fardeau dont la seule existence l’empêchait de s’épanouir complètement.
Au bout du compte, les années ne l’avaient pas changé : il demeurait un gamin meurtri par les décisions égoïstes d’une alliée factice, d’une chimère. Il ne grandissait pas, ne s’émancipait pas de la colère et de la frustration engendrées par le départ précipité de son aînée… Et lorsqu’il tentait de faire du sens, de soulager son cœur de ses innombrables démons, il revenait sans cesse à l’origine du problème :Il n’avait pas été suffisant.
Vai’ata était partie parce que Mana ne suffisait pas à son bonheur, parce que le sang qu’ils partageaient n’était pas assez convainquant la retenir… Elle avait eu besoin de plus, plus que ce que l’adolescent qu’il était à l’époque pouvait lui offrir.

(Plus que les étoiles qu’il pouvait lui promettre.)

Les yeux rivés sur l’écran de son téléphone, Mana’arii progresse dans les artères d’Artiesta comme s’il y avait vécu toute sa vie. Dans sa progression tourmentée, il ignore autant les gens qu’il passe près de bousculer que les regards courroucés qu’il sème effrontément sur son passage : son attention est ailleurs.
Elle est bien loin de effervescence de la ville lumière, bien loin de la politesse qui convient à quelqu’un de sa perfection. (Jamais Lumiris ne saurait oublié son légendaire 8/10.)
À la place, elle est captivée par l’image que lui renvoie l’objet et la photo sur laquelle ses yeux ont jeté leur dévolu lors de son rituel matinal.

Lumiris lui avait tout prit.

« Franch’ment, Kane, j’sais pas ce que les gens lui trouvent: elle n’est pas si belle que ça... » Lance-t-il à l’intention du chiot qui le talonne de peine et de misère. (Mauvaise foi, va.)
Il ne s’en était pas rendu compte, mais l’agacement avait précipité sa progression dans les artères d’Artiesta et sa vitesse de croisière s’était peu à peu muée en (presque) footing énervé. Le tableau n’avait désormais plus rien de joyeux ou de serein… Comme à chaque fois qu’il était question de Vai’ata.

Au fil des années, il avait peu à peu extrapolé le problème jusqu’à la tenir responsable de chaque petit drame survenu au cours de sa vie.
C’était de sa faute si Moeata n’avait pas voulu sortir avec lui à son treizième anniversaire.
C’était aussi de sa faute s’il avait échoué ses maths en CE1.
Et puis (Pourquoi pas hein...), la famine, la guerre et le réchauffement climatique, c’était aussi sa faute.
Il n’y a avait pas un seul crime dont il ne la tenait responsable. Pas un. Alors autant dire que s’il la suivait religieusement sur tous ses réseaux sociaux alors qu’il ne lui avait pas adressé la parole depuis quasi dix ans, c’était dans l’unique objectif de se donner de la matière pour mieux la détester. (Mana’arii était donc un rageux et un hater. Glorieux.)

Soupir.
Cesserait-il de se ridiculiser ainsi?


« Pis elle est pas tant douée que ça… Si? » Comme dans l’espoir de recueillir un peu de soutien, l’insulaire soustrait enfin son regard courroucé aux lignes de l’écran pour le rediriger vers le voltoutou. Rien.
Même si ses billes nacrées se complaisent dans l’admiration silencieuse de leur dresseur, il n’est pas question pour le Pokémon de joindre ses aboiements au venin craché de ce dernier… Et c’est un refus de coopérer qui n’est malheureusement pas étranger à l’Alolien.

« C’est bon. Ne dit rien. De toute manière, ne j’ai pas besoin de ton approbation pour savoir que j’ai rais-... »
Silence.
Silence lorsque, cessant d’utiliser Kane comme support visuel à son dégoût, il ramène doucement son attention vers cette foutue foule qu’il balaie du regard. Silence lorsque ses yeux s’attardent une seconde de trop sur le blanc polaire d’une chevelure et la chaleur d’une peau halée.


Il est, certes, trop jeune pour mourir, mais l’argument ne suffit pas à son cœur qui cesse sitôt de battre. Le souffle court, il met un terme définitif à sa progression dans les rues d’Artiesta. Il a fait le pas de trop.
(Le pas de trop vers Vai’ata.)

Non loin de lui, encerclée par les fans, sa sœur ne lui a jamais semblé aussi ridiculement inaccessible… Aussi chimérique. Entre ses doigts défilent papiers et crayons alors que le flash des appareils photos ramènent Mana sur terre : ils ne sont pas du même monde.
Cette vie, c’est elle qui l’a choisie.
C’est l’existence qu’elle a préféré à lui, c’est l’avenir qu’elle a estimé plus suffisante que leur fratrie…
Déglutissant, le brun détourne brusquement son regard du souvenir douloureux de son existence. Il mentirait s’il disait ne pas savoir que Vai’ata habitait ici et encore plus s’il affirmait ne pas avoir espéré (secrètement) la croiser. Il aimait se faire du mal, Mana. Il aimait multiplier les bêtises, se croire surhomme alors qu’il n’était que gamin déboussolé. Il aimait se dire qu’il n’en avait rien à foutre, que le souvenir de sa sœur n’avait rien pour lui rien de plus que le goût amer de de la déception… Mais Arceus connaissait la grosseur indécente du bobard.

Paralysé par la surprise et le maelström d’émotions qui fait rage en lui, l’Ehu-kai reste interdit devant la scène.
Il ne dit rien, n’esquisse pas le moindre pas dans sa direction. Son cœur de gamin avait rêvé de ce jour, s’était convaincu qu’en la revoyant, il oublierait tout des larmes et de la colère… Mais il s’était lourdement trompé.

Même une fois à portée de main, les crimes ne disparaissaient pas.

En dépit de la douleur, il se sentait animé d’une seule envie : celle de lui hurler dessus jusqu’à s’en saigner les cordes vocales. (Et, pourquoi pas, prouver son immaturité au monde entier.)
Il avait envie de formuler tous les reproches emmagasinées des dernières années, toutes les insultes qu’il avait imaginé, tous les commentaires désobligeants qu’il s’était répété… Mais cela en valait-il vraiment la peine? Et s’il se dégonflait? Et si les mots lui manquaient?
Et si, au final, il ne faisait que se ridiculiser?
Mana’arii était le fruit des apparences entretenues et de l’image cultivée. Jamais il ne prendrait un tel risque, jamais il irait aux devants de ses craintes et de ses réticences. Jamais.

« Viens, Kane… Partons. », murmure à peine assumé.
Il savait qu’il regretterait. Peut-être pas aujourd’hui, sans doute pas demain… Mais un jour, il se dirait qu’il aurait dû essayer.
Peu importe qu’il aurait pu en tirer, peu importe ce dont il aurait eu l’air.
Un jour, il s’en foutrait pour toutes les fois où il avait accordé trop d’importance aux apparences.

Mais pour aujourd’hui encore, c’est la fuite que Mana’arii avait choisi…
(c) TakeItEzy
Mana'arii Ehu-kai
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