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Azir
Azir
Azir
Ven 10 Juil - 2:19
Zaunien Amorphe de Combat Pool_z10
« Maman m’a toujours dit que j’étais grand pour mon âge. »

Zaunien Amorphe de Combat Zac10
Personnage
• NOM : Zac.
TITRE/SURNOM : l’Arme Secrète.
LIEU DE NAISSANCE : Zaun.
RÉSIDENCE : Zaun.
OCCUPATION : aider les gens.
FACTION : Zaun.

Joueur
PRENOM/PSEUDO : Deron.
ÂGE : 23 ans.
COMMENT AVEZ-VOUS CONNU LE FORUM ? au hasard d’un top site.
LIEUX DU RÈGLEMENT : 2/4, vu par Varus
PRÉSENCE, COMMENTAIRES :




Tu es grand. Ça c’est certain. Encore que, tu n’en es pas sûr toi-même. Peut-on dire que tu l’es ? Après tout c’est bien là l’une de tes particularités : ton amorphisme. Bon, tu n’es pas grand, tu es large. Tu peux former une très grosse flaque sur le sol même si d’ordinaire tu prends la forme d’une humanoïde, un humain même, bien qu’il faut avouer que tu serais un humain difforme. En effet tu as bel et bien deux jambes, même si elles sont plus fines que le reste de ton corps ; c’est d’ailleurs la partie la moins solide dudit corps pour pouvoir bouger plus facilement ainsi tu as souvent de la gélatine qui coule de tes jambes, et de tes pieds à tel point qu’il est parfois possible de te suivre à la trace. Ton torse est là où se concentre la majorité de ton être, une grosse masse de gélatine verte dans laquelle évoluent des bulles, peut-être d’air, tu n’en es pas certain, que tu as modelée y faire apparaître des muscles. Ce qui est particulièrement pratique c’est que, contrairement aux humains, tu n’as pas besoin de constamment travailler pour les garder, ces muscles ! Il faut aussi dire que, contrairement aux humains, tu n’en as pas besoin, de ces muscles. Contrairement à tant d’autres créatures tu n’as pas de cou, du moins pas vraiment, ce qui fait que ta tête est posée sur le sommet de ton corps. Au centre de cette dernière se trouve deux grosses billes jaunes qui te servent d’yeux. En dessous, ta mâchoire supérieure, est d’un vert un peu plus foncé que le reste, et forme une dentition, même s’il faut le dire vite. La partie supérieure de ta tête se maintient au-dessus de ta mâchoire inférieure, d’une disproportionnée, elle représente près des trois quarts de ta tête. Enfin, le meilleur pour la fin, la partie dont tu es fier, le tentacule qui se trouve sur le sommet de ton crâne. Souvent aussi long que ton bras, il descend jusqu’au creux de tes reins lorsque tu te tiens debout et bien droit… si tu avais des reins évidemment. Le clou du spectacle, la cerise sur le gâteau, et ce de façon presque littérale, ton tentacule se termine par une petite boule violette.

Tu es curieux. C’est probablement ton trait de caractère le plus développé et, surtout, le seul qui reste peu importe ce que l’on pense ou ressent autour de toi. Lorsque l’empathie prend le dessus tu te demandes jusqu’où tu peux aller pour aider ceux qui en ont besoin ; lorsque c’est la joie tu te demandes comment la transmettre. Dans tous les cas tu te demandes jusqu’où tu peux aller, tentant sans cesse de repousser les limites, et ce même si tu sais que ça peut avoir des conséquences désastreuses lorsque ce sont des sentiments comme la colère ou l’amertume qui sont partagés. Tu en as d’ailleurs développé une peur toute particulière ; tu préfères partir lorsque tu sens la colère commencer à faire bouillir ta gélatine, non pas pour toi mais pour les autres, au plus profond de toi tu as peur de ce que tu peux faire lorsque tu perds le contrôle. Tu en a déjà vu les résultats.

Ce qui te caractérise c’est bel et bien d’être une éponge à émotions et, donc, d’être très malléable. Si tu as un sens très clair du bien et du mal, et ce grâce à tes parents, ça ne reste qu’un sens, une impression, si on te demandait d’expliquer ce qui est bien ou mal tu en serais bien incapable ; vu que tu es très influençable il en faut bien peu pour que ta perception du bien ou du mal change en fonction de ton environnement et des gens que tu côtoies ou que tu observes. Après tout tu ne connais le bien et le mal qu’à travers les yeux des citoyens de Zaun.

Tu ne sais pas quand tu es né par contre tu te souviens de ton premier contact avec des humains. Tu regardais les parois rocheuses du puit de mine dans lequel tu avais élu domicile lorsqu’un rocher t’es tombé dessus puis un autre. Alors tu t’es retourné et tu as réussi à facilement déterminer la provenance de ces cailloux volants : deux enfants les lançaient. Pourtant ils n’avaient pas l’air d’être agressif, ils ont certes rit lorsqu’un des petits cailloux a rebondis sur ta gélatine mais tu n’as pas décelé de sadisme dans leur éclat de rire. Toutefois, toute flaque que tu étais, tu n’aimais pas qu’on te lance des pierres alors lorsqu’un nouveau galet t’atteignit tu remodelas une partie de ton corps en un long tentacule et tu te servis du bout dudit tentacule pour noyer la pierre et d’un simple mouvement de balancier, tu leur renvoyas leur projectile. Heureusement tu loupas les enfants et ils s’enfuirent en criant tandis que tu retournais à ta vie tranquille et flacide de flaque verte.

Cependant tu ne restas pas seul bien longtemps car d’autres enfants venaient régulièrement et parmi eux, évidemment, se trouvaient les deux premiers. Ils lançaient des pierres et tu leur renvoyais. Après quelques temps tu avais suffisamment grandi pour pouvoir former plusieurs tentacules pour renvoyer davantage de pierres même si le premier restait ton préféré. Puis tu devins une petite célébrité dans ton quartier, les enfants aiment jouer avec toi et les parents étaient bien contents de savoir que, pour une fois, le jeu de leurs marmots n’était pas mortel. Toutefois, comme tu l’as appris bien cruellement, toutes les bonnes choses ont une fin et parfois elle arrive plus vite que tu ne le voudrais. Arrivant avec d’étranges machines que tu n’avais encore jamais, une bande d’adultes bizarres s’approchèrent de ton bassin, se moquant bien des protestations des parents de tes amis et bientôt, sans que tu ne puisses faire quoi que ce soit, on t’aspira dans le ventre d’une grosse machine.

On te transféra ensuite dans une cuve où tu restas pendant qu’on plaçait de la nourriture à l’intérieur, visiblement pour toi. Plus tu mangeais et plus tu grandissais et ce très vite, si la peur ne t’avait toujours pas quitté, avait toujours ton cœur dans sa poigne glacée, au moins ce que tu mangeais maintenant était bien meilleur que ce que les quelques nutriments que tu pouvais trouver dans l’eau saumâtre qui tombait dans ton bassin. Ta cuve devint vite trop petite et lorsque vint le moment d’en changer on te laissa faire : la porte fut ouverte et une traînée de nourriture te mena jusqu’à ton nouvel habitacle pendant que des humains te regardaient avec de grands yeux curieux en prenant des notes. C’est dans ton nouvel habitacle que tu as commencé à améliorer tes capacités de modelage. Au départ tu n’étais qu’une masse informe d’où sortaient quelques tentacules mais bien vite tu développas une forme très vaguement humanoïde. Tu avais deux pieds, deux jambes, le tout relié à un torse sans séparation avec la tête ; tu gardas ton tentacule, le premier, celui qui avait renvoyé la première pierre. C’est peut-être stupide mais tu l’aimes. Et puis avec cette amélioration du contrôle de ton gel en observant autant les scientifiques qu’ils t’observaient toi, tu as réussi à former des sons.

A partir de ce moment tu as clairement remarqué un changement de comportement de la part des scientifiques en question. Parmi la dizaine que tu voyais tous les jours, deux se mirent à discuter avec toi. Plus tu parlais avec eux et plus tu apprenais, te donnant encore plus envie de leur ressembler.

Au retour d’une expérience qui avait pour but de tester les effets du feu sur toi, ce qui t’avais au passage bien fait rire, tu avais essayé de bouger comme le faisait les flammes, tu remarquas une étrange boule rouge sur un bureau et alors que tu passais à côté tu l’attrapas. Tu te retournas vers les deux scientifiques qui te suivaient et tu leur montras.

« Qu’est-ce que c’est ? »
« Un bonbon. » Répondit la femme en se saisissant de son carnet de note et d’un crayon.
« Ça sert à quoi ? » Dans la paume de ta main, tu  menas le bonbon devant tes yeux pour mieux l’observer.
« C’est de la nourriture. » Tes yeux jaunes quittèrent la sphère rouge pour se poser sur l’homme.
« Pourquoi vous ne m’en avez pas donné avant ? »  Les deux humains se regardèrent un instant dont tu profitas pour avaler la sucrerie. C’était sans doute la meilleure chose que tu aies mangé et sans attendre la réaction de tes superviseurs tu en attrapas un autre puis un autre que tu mangeas ; pourquoi te priver ? Après tout personne ne pouvait t’arrêter.  
« Aller maintenant il faut rentrer dans ta cuve. » L’homme à la blouse, qui un jour sans doute fut blanche mais qui maintenant était rendue un peu verdâtre à cause des innombrables manipulations de ta gelée, tentait de mettre de l’ordre sur le bureau que tu venais d’à moitié renverser.
« J’ai pas envie. » Et après ces quelques mots tu embrassa la pièce du regard à la recherche d’autres bonbons. Tu tournas finalement la tête en sentant quelque chose sur ta main : les doigts de la femme.
« Zac il faut rentrer dans ta cuve pour que tu deviennes grand et fort. »
« Mais je le suis déjà, vous avez bien vu, je ne veux pas retourner là-dedans ! » Tu pointes d’un doigt élastique la cuve entrouverte. « Je veux venir avec vous, c’est pas juste que vous ayez le droit de sortir d’ici et pas moi. »

Les scientifiques échangèrent à nouveau un regard mais ne répondirent pas tout de suite, l’homme était encore occupé à rassembler les papiers et objets qui étaient tombés.

« Et puis d’abord comment vous vous appelez ? » Tu hausses ton arcade sourcilière en croisant tes longs bras verts sur ton torse. « Un garde m’a dit que vous vous appelez pas Papa et Maman. » Tu tapes lentement du pied comme tu l’as déjà vu faire un scientifique frustré par ton manque de coopération.

« Je m’appelle Elias. » Répondit l’homme qui posa les quelques documents une lampe sur le bureau.
« Et moi Angela. » Ils se regardèrent à nouveau un instant avant qu’elle ne reprenne la parole. « Si tu viens avec nous tu ne dois le dire à personne, tu as bien compris ? »

Tu hochas vigoureusement la tête, ton tentacule fouettant l’air, tandis que tout un paquet de bulles remontait à l’intérieur de ton corps et tu t’arrêtas bien vite lorsque ledit tentacule fit tomber quelque chose. Tu lanças un regard suppliant à tes parents pour qu’ils ne te grondent pas mais après un soupir vous partiez d’ici. Pendant une nuit tu as découvert la vie en dehors du laboratoire et tu l’as adoré. Malheureusement tu n’as pas pu conserver le jouet que ta mère t’a offert, c’était un bien étrange bonhomme, il portait un pantalon marron et une chemise blanche, le tout déchiré, il avait de longs cheveux noirs raides et hirsutes, une grande seringue plantée dans l’épaule, la peau violette et la langue bleue mais même s’il était bizarre tu l’aimais quand même. Malheureusement tu as dû rentrer dans ta cuve le lendemain, avant que les autres scientifiques ne se rendent compte que tu étais parti avec tes parents. A partir de ce jour tu as pu constater que les discussions qu’avaient tes parents avec leurs collègues se transformaient souvent en disputes et elles devenaient de plus en plus véhémentes. Tandis que toi tu supportais de moins en moins l’enfermement dans ta cuve jusqu’à ce que tu n’en puisses plus. Tu te déchainas contre les parois de métal, chaque coup imprimait la forme de ton poing dans l’acier et lorsque ce dernier se déchira enfin tu coulas dans les fissures pour sortir.

Ce jour-là tes parents décidèrent que s’en était trop et en profitèrent pour s’enfuir, te promettant que tu ne serais plus jamais dans une cuve et que tu pourrais avoir autant de bonbons que tu voudrais en dehors du laboratoire. N’ayant pas besoin de ces motivations pour les suivre, tu le fis avec plaisir et avec Elias et Angela, vous avez disparus dans le méandre de ruelles étroites qu’est Zaun. Dans un recoin de la grande cité, tu t’es habitué à ta nouvelle vie, on t’expliqua qu’il fallait vivre cacher pour échapper à Saito Takeda, le baron qui voulait te récupérer parce qu’il croyait que tu étais sa propriété mais tu sais que tu n’es l’objet de personne. Tu es une personne et par conséquent tu n’appartiens à personne. Alors lorsque c’était nécessaire tu te cachais dans les fissures des parois rocheuses, dans les canalisations ou dans les marres comme celles que tu habitais avant d’être emporté par les scientifiques.

Pendant quelques années tu fus libre d’arpenter la ville, tant que tu le faisais avec un minimum de discrétion, à l’abris des regards pour ne pas attirer l’attention du baron et de ses hommes. Tu as pu découvrir que le monde est magnifique et vaste mais qu’il est aussi peuplé de gens très différents ; si certains sont bons, gentils, ne cherchant qu’à aider les autres, leurs contraires existent également et ça tu ne pouvais pas le supporter. Tu as désobéi plusieurs fois à tes parents en t’opposants aux méchancetés dont tu étais témoins. Cependant tu as aussi appris que si tu étais capable d’absorber toutes sortes de nourriture c’était aussi le cas des émotions d’autrui et tu as parfois déchainé toute ta puissance sans vraiment le savoir. Ce que tu ne savais pas non plus c’était que ce genre d’indiscrétion allait te coûter très cher.

En rentrant chez toi tu t’es vite rendu compte que quelque chose n’allait pas. Il y avait des sons différents qui résonnaient dans les tuyaux que tu empruntais, il y avait beaucoup plus de voix que d’ordinaire à la maison et tu ne pouvais en reconnaître que deux : celles de tes parents. Pris de panique tu t’es alors dépêché, traversant les canalisations de la ville aussi vite que tu le pouvais mais malgré toute ta diligence tu arrivas trop tard. Ta gélatine verte s’écrasa sur le pas de la porte et en te reformant devant l’entrée défoncée de ta maison tu pu voir l’intérieur complétement ravagé mais tes yeux ne s’arrêtèrent pas sur le mobilier détruit ; sur la dizaine d’hommes en arme et en armure lourdes qui se retournèrent au ralentis ; sur les cadavres de leurs compagnons ; sur le gaz verdâtre qui flottait dans l’air ou sur les tâches d’acides qui rongeaient encore le parquet mais bien sur les corps de tes parents qui gisaient sans vie. A ta peur se mêla celle des hommes de Saito Takeda qui se rendirent compte de leur situation, pris par surprise par une arme terrifiante ; beaucoup n’étaient déjà pas serein après avoir lu les rapports sur tes compétences. L’agressivité ambiante mit le feu aux poudres et la suite tu ne t’en souviens pas. Et c’est tant mieux. Ce dont tu te souviens c’est de te retrouver au centre de la pièce couverte de ta gélatine verte, tes parents protégés par une épaisse couche de ton corps.

Tu as fait ton deuil en aidant les gens autour de toi, ceux abandonnés dans les tréfonds de Zaun ou sujets aux violences des gangs, comme ceux contrôlés par Saito Takeda, que tu aurais pu écraser mais tu sais que tes parents n’auraient pas approuvé cette décision. A la place tu préfères protéger et voir de tes yeux l’immensité et la beauté du monde qu’ils t’ont tant vanté et il se trouve que tu peux faire d’une pierre deux coups en rejoignant l’Institut.

Le Jugement nécessaire pour rentrer dans l'Institut te laissa un arrière-goût désagréable. Non pas que le souvenir en lui-même fut désagréable, loin de là même, c'était une scène que tu chéris maintenant plus que jamais: une soirée passée avec tes parents. Le soucis c'était plutôt le contrôle que les invocateurs avaient sur toi et tu t'es demandé ce que tu pourrais faire s'ils se mettaient à en abuser.

Azir
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Varus
Le Dernier Gardien
~ Papi Varus ~
Varus
Varus
Le Dernier Gardien ~ Papi Varus ~
Ven 10 Juil - 17:53
Bonjour et bienvenue Zac !

Voilà un être que je ne m'attendais pas forcément à voir, mais c'est un choix intéressant. Boogie

J'ai beaucoup aimé la façon dont t'es approprié le personnage, que ce soit dans le physique, le caractère, et l'histoire. Tu as vraiment mis ta touche personnelle, ça se ressent bien au rapport de Zac à la nourriture, ou encore son affection pour son premier tentacule. (Petit détail extrêmement touchant de mon point de vue d'ailleurs. In love )

En réalité, je n'ai pas grand chose à dire de plus car ce que tu as écrit et montré de Zac est très plaisant, et ça promet de jolis RPs. En plus, tu as développé ton opinion sur la Ligue alors c'est super !

Je t'annonce donc sans plus de suspense que tu es... validé !!!  Ihihhihihihihih !
Tu peux désormais créer ta fiche de suivi, et aller consulter les demandes de RP pour trouver un partenaire, voire en créer une si tu le juge nécessaire !

Sois le bienvenu cher Flubber survitaminé Zac, je te souhaite beaucoup d'amusement et de beaux RPs parmi nous ! Une rose ? ♥
Varus
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